Apres avoir observé Respectueusement avec un esprit Républicain le
délai de huit jours que nous nous étions fixés, nous constatons avec
amertume un mépris total du C.E.N/C.C.R.
Nous cadres libres par ma voix tenons à rappeler que :
- Notre combat est un combat de principes et non de personnes ;
- Contrairement à leur prétendue opinion ou considération, ce que nous
défendons est la position de la majorité des cadres même si par
ailleurs certains du fait d’une absence de tribune n’ont pu défendre
cette position.
Ce combat est une lutte contre l’arbitraire et contre l’absence de
démocratie interne. A cela s’ajoute une forfaiture qui ne saurait prospérer.
En définitive, partant d’un double constat : l’échec et l’illégalité du
Collège Exécutif National (C.E.N); nous exigeons de façon ferme à ce que :
- Le C.E.N fasse un bilan d’activités de ses quatre années d’exercice ;
- Le C.E.N fasse un bilan financier détaillé sur la même durée avant
d’exiger des cotisations pour écarter des camarades à qui ils doivent
leur promotion ;
- Le C.E.N soit renouvelé, d’autant plus que son mandat est terminé
depuis fin 2009 si on se réfère au règlement intérieur de la C.C.R en
son article 6 : qui stipule clairement que la durée du mandat du
bureau est de un (01) an. Et si par ailleurs on convoque les statuts du
parti qui dictent l’obligation de renouveler toute instance au bout de
trois ans.
Camarades, la rupture commence d’abord par une gestion démocratique
des organes du parti.
L’humilité et la grandeur d’esprit commandent en cas d’incapacité et
d’incompétence ; que l’on cède le gouvernail à des mains plus expertes et à
des esprits plus ingénieux.
« …Je demeure convaincu que l’engagement politique peut bien s’accommoder de l’éthique, de
la morale et de la loyauté ».M. SALL
Fait à Dakar le 10 Février 2014
Pour le Comite d’initiative
A. MAXIME MONTEIRO
Membre fondateur de la CCR, membre du C.E.N
Président de la commission Veille et Marketing Politique C.C.R
délai de huit jours que nous nous étions fixés, nous constatons avec
amertume un mépris total du C.E.N/C.C.R.
Nous cadres libres par ma voix tenons à rappeler que :
- Notre combat est un combat de principes et non de personnes ;
- Contrairement à leur prétendue opinion ou considération, ce que nous
défendons est la position de la majorité des cadres même si par
ailleurs certains du fait d’une absence de tribune n’ont pu défendre
cette position.
Ce combat est une lutte contre l’arbitraire et contre l’absence de
démocratie interne. A cela s’ajoute une forfaiture qui ne saurait prospérer.
En définitive, partant d’un double constat : l’échec et l’illégalité du
Collège Exécutif National (C.E.N); nous exigeons de façon ferme à ce que :
- Le C.E.N fasse un bilan d’activités de ses quatre années d’exercice ;
- Le C.E.N fasse un bilan financier détaillé sur la même durée avant
d’exiger des cotisations pour écarter des camarades à qui ils doivent
leur promotion ;
- Le C.E.N soit renouvelé, d’autant plus que son mandat est terminé
depuis fin 2009 si on se réfère au règlement intérieur de la C.C.R en
son article 6 : qui stipule clairement que la durée du mandat du
bureau est de un (01) an. Et si par ailleurs on convoque les statuts du
parti qui dictent l’obligation de renouveler toute instance au bout de
trois ans.
Camarades, la rupture commence d’abord par une gestion démocratique
des organes du parti.
L’humilité et la grandeur d’esprit commandent en cas d’incapacité et
d’incompétence ; que l’on cède le gouvernail à des mains plus expertes et à
des esprits plus ingénieux.
« …Je demeure convaincu que l’engagement politique peut bien s’accommoder de l’éthique, de
la morale et de la loyauté ».M. SALL
Fait à Dakar le 10 Février 2014
Pour le Comite d’initiative
A. MAXIME MONTEIRO
Membre fondateur de la CCR, membre du C.E.N
Président de la commission Veille et Marketing Politique C.C.R