La commune de Mermoz-Sacré cœur, une des communes les mieux urbanisées du Sénégal est en passe de
devenir, sans exagération aucune, l’une des plus désagréable de Dakar.
Le monde est en train de relever un défi vital, les dirigeants de 195 Nations récemment réunis en France
autour de la Cop21, tellement conscients des dangers qui nous guettent et malgré leurs divergences politico-
géostratégiques, ont pu harmoniser leurs positions, se retrouver autour de l’essentiel et prendre des
résolutions fermes pour sauver le monde des catastrophes climatiques éventuelles. Cette rencontre n’était
pas qu’une simple villégiature, ils n’ont pas passés des jours loin de leurs pays juste pour prendre des
vacances ou juste pour le plaisir d’être ensemble. Cette rencontre doit interpeler au plus haut point le
citoyen lambda du monde par la simple question de savoir pourquoi autant de pays ont fait couler beaucoup
d’encre et de salive pour une « simple » question de réchauffement climatique et par la question à savoir,
pourquoi des Chefs d’Etat ont fait le déplacement à Paris, laissé derrière eux des urgences de leurs pays pour
aller discuter pendant plusieurs jours ? Et pourquoi 40.000 personnes dont Mr Tall Adjoint au Maire Dias ont
participé à cet évènement historique ?
Même si les pays africains ont une faible responsabilité dans ce « souci du monde » (terme emprunté à
Monsieur El Hadj Ibrahima Sall, un titre de ses livres) il n’en demeure pas moins qu’elle est la première à en
subir les conséquences. Ainsi doit-elle mettre, en place, des mécanismes et développer des stratégies pour
contenir les effets climatiques nuisibles à l’environnement et à l’économie. Chaque pays a ainsi l’obligation
vitale de se pencher sérieusement sur cette question afin d’y apporter des solutions globales et durables
même si, par ailleurs, des financements en provenance des pays pollueurs n’étaient pas prévus. Une
question aussi importante n’est pas seulement l’affaire d’un Chef d’Etat mais l’affaire d’une chaîne d’acteurs
Etat, Collectivités locales, entreprises et citoyens. Chacun en ce qui le concerne a un rôle très important à
jouer mais encore faudrait-il qu’il en soit informé et conscient. En effet, la sensibilisation est la première
étape du défi vert à relever et c’est le rôle et de l’Etat et des collectivités locales mais et surtout celui des
dernières citées.
Malheureusement, concernant la commune de Mermoz Sacré-cœur, il est navrant de constater que les
espaces publics sont devenus des parkings de vente et de location de véhicules, aménagés avec du béton. Du
rond point de la Case des tout-petits à celui de la « boulangerie jaune », de celui-ci au croisement de l’école
sacré-cœur, le spectacle est désolant et décourageant. Il en est de même, tristement, des espaces situés
entre l’immeuble « Mariama » et le CNCA. Il ne faut pas attendre donc de celle-ci une quelconque
sensibilisation.
Certes, la Mairie a besoin de ressources mais est-ce une raison pour sacrifier l’environnement et le cadre de
vie à l’autel d’activités économiques simplistes, nuisibles, privatives, non productrices d’emplois et même
suspectes ? A ce rythme chacun doit se poser la question de savoir à quel avenir est destiné nos quartiers et
dans quel état de délabrement seront nos espaces publics dans 20 ans ou 30 ans ? Tout le monde se plaint
des gargotes, de la saleté, de l’occupation anarchique de certaines places à l’intérieur des quartiers, des abus
sur l’utilisation de certains de ces espaces sans aucun contrôle et de la dégradation d’autres places parce
qu’aucun entretien n’y est fait par l’autorité. Les acteurs locaux, de simples citoyens engagés, sont de plus en
plus interpelés par les riverains mais malheureusement leur rôle est juste celui de veille, d’alerte et de
plaidoyer. La Mairie est la seule à pouvoir agir légalement et contraindre, ce qu’elle ne fait pas.
J’ai toujours soutenu qu’il nous faut des espaces verts, des aires de jeux et d’épanouissement, des espaces
de promenade et de détente pour tous les âges et surtout pour les personnes âgées qui sont de plus en plus
nombreuses dans la commune. Elles ont besoin de faire du sport (de la marche), d’humer de l’air frais, de se
détendre en dehors des maisons, etc. Mais absolument rien n’est prévu pour les populations, cette absence
consternante de vision ne traduit qu’une insouciance pour les besoins des habitants et à la limite un manque
de considération.
Il y a des aménagements verts qui ne sont pas incompatibles à la production de ressources pour l’Institution
et à la création d’emplois, il suffit d’un peu de jugeote et d’imagination fertile pour faire d’une pierre
plusieurs coups (diminuer la pollution, préserver l’environnement, améliorer le cadre de vie, créer des
emplois, divertir et créer des ressources additionnelles). Cette commune n’a besoin que de calme, de
salubrité, de sécurité, d’un environnement sain et d’un cadre de vie agréable. La jeunesse a besoin de
s’épanouir et de s’occuper sainement. Si le Maire relève ces défis, il aura déjà réussi sa mission et c’est à sa
portée. Il suffit juste d’une volonté de faire et de faire faire.
Le citoyen doit éviter de se faire embarquer dans le débat puéril d’un blocage politique voulu par le régime
en place avec l’acte 3. Ce disque est rayé, il faut parler de l’essentiel, du budget de la Mairie et de son
utilisation. L’acte 3 a ses impairs mais ne doit aucunement servir de prétexte pour les Maires qui n’honorent
pas leurs obligations envers nos cités. Si nous sommes tous d’accord que le Maire Barthelemy Dias a le droit
de réclamer des taxes légales arrêtées et validées par le Conseil municipal, il nous faut également lui
demander quelle est l’utilisation faite de ces taxes collectées et leur impact dans la vie de nos quartiers
respectifs. On ne l’entend que lorsqu’il faut faire payer des gens, que lorsqu’il réclame des taxes mais jamais
sur des projets novateurs au profit des populations et assis sur des besoins exprimés par ces derniers.
Déjà entre 2009 et 2013, le budget annuel était de Deux Cent Cinquante Millions (250.000.000) (minimum)
soit un milliard deux cent cinquante millions (1.250.000.000) en 5 ans mais aucune réalisation n’avait été
faite par le Maire. A maintes occasions, il a eu l’honnêteté et l’humilité de reconnaître cet état de fait et
promis que ce mandat sera celui des réalisations. Malheureusement, nous sommes toujours en attente des
prémices favorables. Les élus doivent arrêter de gérer des mandats pour se projeter dans l’avenir, il est
important de leur rappeler qu’ils sont des serviteurs des électeurs et non des princes qui gèrent une cour de
sympathisants.
J’invite les citoyens à être non seulement participatifs et collaboratifs mais également à être vigilants et
exigeants avec les dirigeants car la gestion de la chose publique incombe à chaque individu. Nous devons
accompagner le Maire Barthelémy Dias, pour la réussite de sa mission, tant qu’il sera dans ses intentions
d’administrer par l’inclusion et la participation dans l’intérêt des citoyens et de la commune. Cependant,
nous devons veillez scrupuleusement à ce qui est fait de ce qui nous appartient à tous, il y va de l’avenir des
générations futures. La technique de la terre brûlée et l’éternel recommencement à zéro doivent être
bannis, cela plombe le développement local.
J’invite aussi les Conseillers municipaux qui sont le cordon ombilical entre le Conseil municipal et les
administrés, de tenir des réunions semestrielles publiques d’information et d’échanges avec les citoyens,
non seulement pour les sensibiliser sur les défis à relever et recevoir leurs doléances mais et surtout pour
obtenir leur accompagnement indispensable.
De tout ce que dessus, il serait regrettable d’en déduire des propos d’un adversaire politique ou d’un
candidat perdant. Il est adressé au gens dotés de raison.
devenir, sans exagération aucune, l’une des plus désagréable de Dakar.
Le monde est en train de relever un défi vital, les dirigeants de 195 Nations récemment réunis en France
autour de la Cop21, tellement conscients des dangers qui nous guettent et malgré leurs divergences politico-
géostratégiques, ont pu harmoniser leurs positions, se retrouver autour de l’essentiel et prendre des
résolutions fermes pour sauver le monde des catastrophes climatiques éventuelles. Cette rencontre n’était
pas qu’une simple villégiature, ils n’ont pas passés des jours loin de leurs pays juste pour prendre des
vacances ou juste pour le plaisir d’être ensemble. Cette rencontre doit interpeler au plus haut point le
citoyen lambda du monde par la simple question de savoir pourquoi autant de pays ont fait couler beaucoup
d’encre et de salive pour une « simple » question de réchauffement climatique et par la question à savoir,
pourquoi des Chefs d’Etat ont fait le déplacement à Paris, laissé derrière eux des urgences de leurs pays pour
aller discuter pendant plusieurs jours ? Et pourquoi 40.000 personnes dont Mr Tall Adjoint au Maire Dias ont
participé à cet évènement historique ?
Même si les pays africains ont une faible responsabilité dans ce « souci du monde » (terme emprunté à
Monsieur El Hadj Ibrahima Sall, un titre de ses livres) il n’en demeure pas moins qu’elle est la première à en
subir les conséquences. Ainsi doit-elle mettre, en place, des mécanismes et développer des stratégies pour
contenir les effets climatiques nuisibles à l’environnement et à l’économie. Chaque pays a ainsi l’obligation
vitale de se pencher sérieusement sur cette question afin d’y apporter des solutions globales et durables
même si, par ailleurs, des financements en provenance des pays pollueurs n’étaient pas prévus. Une
question aussi importante n’est pas seulement l’affaire d’un Chef d’Etat mais l’affaire d’une chaîne d’acteurs
Etat, Collectivités locales, entreprises et citoyens. Chacun en ce qui le concerne a un rôle très important à
jouer mais encore faudrait-il qu’il en soit informé et conscient. En effet, la sensibilisation est la première
étape du défi vert à relever et c’est le rôle et de l’Etat et des collectivités locales mais et surtout celui des
dernières citées.
Malheureusement, concernant la commune de Mermoz Sacré-cœur, il est navrant de constater que les
espaces publics sont devenus des parkings de vente et de location de véhicules, aménagés avec du béton. Du
rond point de la Case des tout-petits à celui de la « boulangerie jaune », de celui-ci au croisement de l’école
sacré-cœur, le spectacle est désolant et décourageant. Il en est de même, tristement, des espaces situés
entre l’immeuble « Mariama » et le CNCA. Il ne faut pas attendre donc de celle-ci une quelconque
sensibilisation.
Certes, la Mairie a besoin de ressources mais est-ce une raison pour sacrifier l’environnement et le cadre de
vie à l’autel d’activités économiques simplistes, nuisibles, privatives, non productrices d’emplois et même
suspectes ? A ce rythme chacun doit se poser la question de savoir à quel avenir est destiné nos quartiers et
dans quel état de délabrement seront nos espaces publics dans 20 ans ou 30 ans ? Tout le monde se plaint
des gargotes, de la saleté, de l’occupation anarchique de certaines places à l’intérieur des quartiers, des abus
sur l’utilisation de certains de ces espaces sans aucun contrôle et de la dégradation d’autres places parce
qu’aucun entretien n’y est fait par l’autorité. Les acteurs locaux, de simples citoyens engagés, sont de plus en
plus interpelés par les riverains mais malheureusement leur rôle est juste celui de veille, d’alerte et de
plaidoyer. La Mairie est la seule à pouvoir agir légalement et contraindre, ce qu’elle ne fait pas.
J’ai toujours soutenu qu’il nous faut des espaces verts, des aires de jeux et d’épanouissement, des espaces
de promenade et de détente pour tous les âges et surtout pour les personnes âgées qui sont de plus en plus
nombreuses dans la commune. Elles ont besoin de faire du sport (de la marche), d’humer de l’air frais, de se
détendre en dehors des maisons, etc. Mais absolument rien n’est prévu pour les populations, cette absence
consternante de vision ne traduit qu’une insouciance pour les besoins des habitants et à la limite un manque
de considération.
Il y a des aménagements verts qui ne sont pas incompatibles à la production de ressources pour l’Institution
et à la création d’emplois, il suffit d’un peu de jugeote et d’imagination fertile pour faire d’une pierre
plusieurs coups (diminuer la pollution, préserver l’environnement, améliorer le cadre de vie, créer des
emplois, divertir et créer des ressources additionnelles). Cette commune n’a besoin que de calme, de
salubrité, de sécurité, d’un environnement sain et d’un cadre de vie agréable. La jeunesse a besoin de
s’épanouir et de s’occuper sainement. Si le Maire relève ces défis, il aura déjà réussi sa mission et c’est à sa
portée. Il suffit juste d’une volonté de faire et de faire faire.
Le citoyen doit éviter de se faire embarquer dans le débat puéril d’un blocage politique voulu par le régime
en place avec l’acte 3. Ce disque est rayé, il faut parler de l’essentiel, du budget de la Mairie et de son
utilisation. L’acte 3 a ses impairs mais ne doit aucunement servir de prétexte pour les Maires qui n’honorent
pas leurs obligations envers nos cités. Si nous sommes tous d’accord que le Maire Barthelemy Dias a le droit
de réclamer des taxes légales arrêtées et validées par le Conseil municipal, il nous faut également lui
demander quelle est l’utilisation faite de ces taxes collectées et leur impact dans la vie de nos quartiers
respectifs. On ne l’entend que lorsqu’il faut faire payer des gens, que lorsqu’il réclame des taxes mais jamais
sur des projets novateurs au profit des populations et assis sur des besoins exprimés par ces derniers.
Déjà entre 2009 et 2013, le budget annuel était de Deux Cent Cinquante Millions (250.000.000) (minimum)
soit un milliard deux cent cinquante millions (1.250.000.000) en 5 ans mais aucune réalisation n’avait été
faite par le Maire. A maintes occasions, il a eu l’honnêteté et l’humilité de reconnaître cet état de fait et
promis que ce mandat sera celui des réalisations. Malheureusement, nous sommes toujours en attente des
prémices favorables. Les élus doivent arrêter de gérer des mandats pour se projeter dans l’avenir, il est
important de leur rappeler qu’ils sont des serviteurs des électeurs et non des princes qui gèrent une cour de
sympathisants.
J’invite les citoyens à être non seulement participatifs et collaboratifs mais également à être vigilants et
exigeants avec les dirigeants car la gestion de la chose publique incombe à chaque individu. Nous devons
accompagner le Maire Barthelémy Dias, pour la réussite de sa mission, tant qu’il sera dans ses intentions
d’administrer par l’inclusion et la participation dans l’intérêt des citoyens et de la commune. Cependant,
nous devons veillez scrupuleusement à ce qui est fait de ce qui nous appartient à tous, il y va de l’avenir des
générations futures. La technique de la terre brûlée et l’éternel recommencement à zéro doivent être
bannis, cela plombe le développement local.
J’invite aussi les Conseillers municipaux qui sont le cordon ombilical entre le Conseil municipal et les
administrés, de tenir des réunions semestrielles publiques d’information et d’échanges avec les citoyens,
non seulement pour les sensibiliser sur les défis à relever et recevoir leurs doléances mais et surtout pour
obtenir leur accompagnement indispensable.
De tout ce que dessus, il serait regrettable d’en déduire des propos d’un adversaire politique ou d’un
candidat perdant. Il est adressé au gens dotés de raison.