Selon Rebecca B, une habitante du quartier Niangon Coprim, qui revenait d’une virée nocturne aux aux environs de 2 heures du matin,le jour de cette attaque, les assaillants auraient intercepté tous les taxis allant dans le sens dudit commissariat et n’auraient arraché que les téléphones portables des conducteurs de taxis. « Des hommes, en civil avec des kalachs en main, nous ont clairemnt fait savoir qu’ils en avaient après les chauffeurs de taxis. Cela m’a beaucoup intrigué puisqu’ils étaient en civil », a-t-elle souligné. Elle poursuit son témoignage en racontant que pour leur sinistre mission, les malfrats avaient intercepté plusieurs autres taxis et lançaient au visage des passagers qu’ils n’avaient rien à craindre d’eux.
Ces propos sont renchéris par Thierry O. qui précise quant à lui que les assaillants portaient des cagoules et avaient chacun au moins deux kalachs. Aux dires de ce dernier, la scène se serait deroulée aux alentours du Carrefour Texaco et n’aurait pas duré plus de 30 minutes. C’est seulement après cela que les tirs auraient retentis dans la zone du 17è Arrondissement. « Ces hommes armés nous ont clairement dit qu’ils avaient affaire aux chauffeurs de taxis. Ils ont pour ce faire intimé l’ordre au nôtre de leur remettre le sien », a ajouté ce témoin.
Au regard de ce qui précède, il n’est pas fortuit de déclarer que les actes de cette nuit fatidique qui a coûté la vie à quatre éléments des Frci, n’était pas bien ficellé. Car des rumeurs et autres bruits font état de ce que quelques chefs de guerre libériens seraient revenus sur le territoire ivoirien. Pis, en posture dans la commune de Yopougon pour la plupart, ils nourriraient le funeste projet de semer la désolation chez les Ivoiriens. Cette situation a contraint les élément des Frci en poste au niveau du Pont de Niangon à doubler d’ardeur. Ceux-ci procèdent à partir de 20 heures, par l’interception de véhicules ayant au moins trois personnes à bord et battent à sang les infortunés qui n’ont pas de pièces d’identité ou qui se montrent zélés. Un couvre-feu aurait même été instauré dans cette partie de cette commune.
Mais la question qui se pose est de savoir quel intérêt avaient les assaillants à s’en prendre qu’aux conducteurs de taxis ? Ou encore quelle menace les chauffeurs de taxis pouvaient constituer contre la mise en exécution de ce forfait ce jour-là ? Une chose est sûre. C’est que les autorités ivoiriennes oeuvrent d’ores et déjà pour que la sécurité des populations soit véritablement assurée et que le processus de réconciliation suive son cours. C’est le souhait caressé par le Président Alassane Ouattara, qui l’a réitéré à l’occasion des festivités marquant les 52 ans de la Côte d’Ivoire.
Mikado, KOACI.COM
Ces propos sont renchéris par Thierry O. qui précise quant à lui que les assaillants portaient des cagoules et avaient chacun au moins deux kalachs. Aux dires de ce dernier, la scène se serait deroulée aux alentours du Carrefour Texaco et n’aurait pas duré plus de 30 minutes. C’est seulement après cela que les tirs auraient retentis dans la zone du 17è Arrondissement. « Ces hommes armés nous ont clairement dit qu’ils avaient affaire aux chauffeurs de taxis. Ils ont pour ce faire intimé l’ordre au nôtre de leur remettre le sien », a ajouté ce témoin.
Au regard de ce qui précède, il n’est pas fortuit de déclarer que les actes de cette nuit fatidique qui a coûté la vie à quatre éléments des Frci, n’était pas bien ficellé. Car des rumeurs et autres bruits font état de ce que quelques chefs de guerre libériens seraient revenus sur le territoire ivoirien. Pis, en posture dans la commune de Yopougon pour la plupart, ils nourriraient le funeste projet de semer la désolation chez les Ivoiriens. Cette situation a contraint les élément des Frci en poste au niveau du Pont de Niangon à doubler d’ardeur. Ceux-ci procèdent à partir de 20 heures, par l’interception de véhicules ayant au moins trois personnes à bord et battent à sang les infortunés qui n’ont pas de pièces d’identité ou qui se montrent zélés. Un couvre-feu aurait même été instauré dans cette partie de cette commune.
Mais la question qui se pose est de savoir quel intérêt avaient les assaillants à s’en prendre qu’aux conducteurs de taxis ? Ou encore quelle menace les chauffeurs de taxis pouvaient constituer contre la mise en exécution de ce forfait ce jour-là ? Une chose est sûre. C’est que les autorités ivoiriennes oeuvrent d’ores et déjà pour que la sécurité des populations soit véritablement assurée et que le processus de réconciliation suive son cours. C’est le souhait caressé par le Président Alassane Ouattara, qui l’a réitéré à l’occasion des festivités marquant les 52 ans de la Côte d’Ivoire.
Mikado, KOACI.COM