Obtenir un visa pour la France relève de l’exploit, Un parcours du combattant qu’il faut aborder avec un moral d’acier. Face aux nombreuses recriminations formulées par les demandeurs de visas déplorant le manque cruel de respect de la dignité de l’Homme au niveau de l’ambassade de France. Le service consulaire a trouvé la parade en confiant la collecte des dossiers de demandeurs de visas à un opérateur extérieur. Piloté par des Ivoiriens et des Tunisiens VFS Global assure cette externalisation en collectant les dossiers pour le consulat . Et désormais on ne parlera plus des humiliations et souffrances endurées dans les services consulaires. Mais le racket institutionnalisé sur les frais du dossier va s’amplifier.
Une arnaque institutionnalisée
Faisons simple le demandeur de visa pour un court séjour, en France, verse une caution de 54 mille francs Cfa..Une fois que le visa est refusé, cet argent n’est pas remboursé. Le consulat de France reçoit approximativement 200 demandes de visa par jour du lundi au jeudi et 150 le vendredi ce qui fait 950 demandes par semaine. Si chaque demandeur payait 54 000 F CFA non remboursables, le consulat empocherait 51 300 000F CFA par semaine ce qui fait 2 milliards 462 millions 400 milles de F CFA par an. Le hic est que le consulat n’accorde le visa qu’à moins de 10 % des demandes. C’est avec cette manne financiére que les services consulaires entretiennent tout le personnel de l’Ambassade de France.
En réalité la France a décidé de fermer ses portes mais en s’enrichissant sur le pauvre dos d’innocents sénégalais . L’ostracisme des services de visa, dans l’octroi des visas, reflète une politique de quotas qui engendre trop de dégâts, après l’immigration choisie qui consiste à voler la matière grise à l’Afrique. Les services consulaires Français développent l’immigration financière qui consiste à octroyer le visa à une élite africaine riche qui a des millions dans ses comptes bancaires. Et que le capitalisme hexagonal pense aux dépenses que ces détenteurs de visa feront pour alimenter les caisses françaises.Ainsi les demandeurs de visas sont traités avec des préjugés, du fait que les services de l’Ambassade de la France pensent que ce sont de potentiels clandestins.
Meme les institutions de l’Etat n’échappent plus à la guillotine du consulat general de la France. Et nous avons appris après les refus abusifs une lettre de contestation addressée au ministre des affaires étrangéres de la France est dans le circuit.
Une arnaque institutionnalisée
Faisons simple le demandeur de visa pour un court séjour, en France, verse une caution de 54 mille francs Cfa..Une fois que le visa est refusé, cet argent n’est pas remboursé. Le consulat de France reçoit approximativement 200 demandes de visa par jour du lundi au jeudi et 150 le vendredi ce qui fait 950 demandes par semaine. Si chaque demandeur payait 54 000 F CFA non remboursables, le consulat empocherait 51 300 000F CFA par semaine ce qui fait 2 milliards 462 millions 400 milles de F CFA par an. Le hic est que le consulat n’accorde le visa qu’à moins de 10 % des demandes. C’est avec cette manne financiére que les services consulaires entretiennent tout le personnel de l’Ambassade de France.
En réalité la France a décidé de fermer ses portes mais en s’enrichissant sur le pauvre dos d’innocents sénégalais . L’ostracisme des services de visa, dans l’octroi des visas, reflète une politique de quotas qui engendre trop de dégâts, après l’immigration choisie qui consiste à voler la matière grise à l’Afrique. Les services consulaires Français développent l’immigration financière qui consiste à octroyer le visa à une élite africaine riche qui a des millions dans ses comptes bancaires. Et que le capitalisme hexagonal pense aux dépenses que ces détenteurs de visa feront pour alimenter les caisses françaises.Ainsi les demandeurs de visas sont traités avec des préjugés, du fait que les services de l’Ambassade de la France pensent que ce sont de potentiels clandestins.
Meme les institutions de l’Etat n’échappent plus à la guillotine du consulat general de la France. Et nous avons appris après les refus abusifs une lettre de contestation addressée au ministre des affaires étrangéres de la France est dans le circuit.