Les risques de la consommation du café sur la santé cardiovasculaire, notamment le lien avec l’infarctus du myocarde (IDM), furent l’objet de controverse. L’influence de la consommation de café sur ladite maladie a été ainsi « analysée par de nombreux auteurs de la littérature médicale », renseigne un communiqué de Ignite Café et Santé.Une étude sur le sujet, précise la même source, renseigne « qu’une tendance non significative d’une association inverse entre la consommation modérée de café et le risque d’infarctus était constatée ».
En effet, la consommation d’au moins 5 tasses de café par semaine s’est révélée associée à une réduction de 35% du risque d’infarctus du myocarde, par rapport à une consommation de 0 à 4 tasses hebdomadaires. En claire, la consommation modérée de café n’augmente pas le risque d’infarctus du myocarde.
Plutôt que le café, selon cette étude, c’est le mode de vie l’accompagnant qui accroît le risque cardiovasculaire. Les auteurs de l’étude font ainsi allusion à la consommation de d’alcool et de la cigarette et conseillent les consommateurs d’agir plutôt « sur l’hygiène de vie, en particulier cesser le tabac, lutter contre la sédentarité par la pratique régulière d’une activité physique et améliorer la qualité du régime alimentaire ».
En effet, la consommation d’au moins 5 tasses de café par semaine s’est révélée associée à une réduction de 35% du risque d’infarctus du myocarde, par rapport à une consommation de 0 à 4 tasses hebdomadaires. En claire, la consommation modérée de café n’augmente pas le risque d’infarctus du myocarde.
Plutôt que le café, selon cette étude, c’est le mode de vie l’accompagnant qui accroît le risque cardiovasculaire. Les auteurs de l’étude font ainsi allusion à la consommation de d’alcool et de la cigarette et conseillent les consommateurs d’agir plutôt « sur l’hygiène de vie, en particulier cesser le tabac, lutter contre la sédentarité par la pratique régulière d’une activité physique et améliorer la qualité du régime alimentaire ».