Une conférence préparatoire en janvier 2013 servira à définir le type et la durée d'un éventuel procès. Elle sera suivie d'une enquête préliminaire, en mars 2013, pour déterminer s'il y a assez de preuves pour intenter un procès à Magnotta pour "meurtre au premier degré" ("meurtre commis avec préméditation et de propos délibéré", ndlr).
Le meurtrier présumé, âgé de 29 ans, était initialement censé comparaître par visioconférence comme il l'a fait mardi lorsqu'il a été officiellement accusé du meurtre de l'étudiant de 33 ans Lin Jun. On s'attendait aussi à ce que les avocats de Magnotta demandent une expertise psychiatrique de l'accusé, mais finalement une telle requête n'a pas été déposée.
La famille de Lin Jun était présente au tribunal. Elle a été placée dans une salle à l'écart de la presse et a assisté à cette courte audience par visioconférence.
Lin, originaire de Wuhan, chef-lieu de la province du Hubei, dans le centre de la Chine, aurait été tué et dépécé par Magnotta le 24 ou le 25 mai. Sa tête n'a toujours pas été retrouvée.
Mardi, Magnotta a plaidé non coupable de cinq chefs d'accusation : "meurtre" prémédité, "outrage à cadavre", "publication de choses obscènes", "envoi par la poste de choses obscènes" et "harcèlement criminel" à l'encontre du Premier ministre canadien Stephen Harper et d'autres personnes.
Il est passible de la prison à perpétuité.
Le meurtrier présumé, âgé de 29 ans, était initialement censé comparaître par visioconférence comme il l'a fait mardi lorsqu'il a été officiellement accusé du meurtre de l'étudiant de 33 ans Lin Jun. On s'attendait aussi à ce que les avocats de Magnotta demandent une expertise psychiatrique de l'accusé, mais finalement une telle requête n'a pas été déposée.
La famille de Lin Jun était présente au tribunal. Elle a été placée dans une salle à l'écart de la presse et a assisté à cette courte audience par visioconférence.
Lin, originaire de Wuhan, chef-lieu de la province du Hubei, dans le centre de la Chine, aurait été tué et dépécé par Magnotta le 24 ou le 25 mai. Sa tête n'a toujours pas été retrouvée.
Mardi, Magnotta a plaidé non coupable de cinq chefs d'accusation : "meurtre" prémédité, "outrage à cadavre", "publication de choses obscènes", "envoi par la poste de choses obscènes" et "harcèlement criminel" à l'encontre du Premier ministre canadien Stephen Harper et d'autres personnes.
Il est passible de la prison à perpétuité.