SETAL.NET - Faute de mettre le grappin sur son époux, la police judiciaire a jeté son dévolu sur Marième Kane. Qui, pendant au moins quatre tours d’horloges a eu droit hier à un interrogatoire intense à propos du lieu où pourrait se cacher son mari, Bara Gaye.
En effet, après avoir tenu des propos jugés offensant contre le chef de l’Etat, Macky Sall, lors du meeting du Parti démocratique sénégalais à Mbacké, le patron de l’Union des jeunesses travaillistes et libérales a pris la poudre d’escampette pour ne pas être retenu dans les locaux de la Division des investigations criminelles (Dic) durant tout le week-end.
Sa femme qui a fait les frais de sa bravade n’a cependant donné aucun indice sur l’endroit où son politicien d’époux se serait « caché ». Lorsque les limiers de la Police judiciaire lui ont demandé de citer cinq personnes que fréquente Bara Gaye, Marième Kane leur a tout simplement signifié qu’elle ne pouvait pas.
Selon le journal l'Observateur lu par Setal.net, les enquêteurs reviennent à la charge pour lui demander son répertoire téléphonique. Mais c'est pour s'entendre dire qu'elle s'est entretenue avec son frère et celui de son homme. En somme, l’épouse du patron de l’Ujtl fait savoir à ses interlocuteurs que les activités d’ordre politique de ce son époux ne l’engagent pas. Relâchée vers 14 heures, elle a retrouvé les siens.
En effet, après avoir tenu des propos jugés offensant contre le chef de l’Etat, Macky Sall, lors du meeting du Parti démocratique sénégalais à Mbacké, le patron de l’Union des jeunesses travaillistes et libérales a pris la poudre d’escampette pour ne pas être retenu dans les locaux de la Division des investigations criminelles (Dic) durant tout le week-end.
Sa femme qui a fait les frais de sa bravade n’a cependant donné aucun indice sur l’endroit où son politicien d’époux se serait « caché ». Lorsque les limiers de la Police judiciaire lui ont demandé de citer cinq personnes que fréquente Bara Gaye, Marième Kane leur a tout simplement signifié qu’elle ne pouvait pas.
Selon le journal l'Observateur lu par Setal.net, les enquêteurs reviennent à la charge pour lui demander son répertoire téléphonique. Mais c'est pour s'entendre dire qu'elle s'est entretenue avec son frère et celui de son homme. En somme, l’épouse du patron de l’Ujtl fait savoir à ses interlocuteurs que les activités d’ordre politique de ce son époux ne l’engagent pas. Relâchée vers 14 heures, elle a retrouvé les siens.
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