L’observatoire pour la qualité des services financiers a organisé hier, jeudi 13 avril, un atelier pour sensibiliser les petites et moyennes entreprises (Pme) sur les mécanismes d’accès financement. Au cours de cette rencontre, les acteurs ont fait ressortir un certains nombre de contraintes qui font que les Pme ont du mal à accéder au financement. Il s’agit, entre autres, de la nature des garanties infligées aux Pme, de la mauvaise formulation des demandes de crédits et du déficit d’information.
Les petites et moyennes entreprises (Pme) ont toujours du mal à obtenir un financement des banques. Ils sont souvent confrontés à un certain nombre de difficultés. Ainsi, la première contrainte qui entrave l’accès au financement des Pme est, selon l’observatoire de la qualité des services financiers (Oqsf), la nature des garanties infligées. «Le premier motif de rejet de dossiers de financement, c’est les garanties. Les Pme ne sont pas à mesure de fournir les garanties exigées parce qu’elles sont considérées comme un risque», a fait savoir Habib Ndao, directeur exécutif de l’observatoire de la qualité des services. Il s’exprimait hier, jeudi 13 avril, lors de l’atelier de sensibilisation des Pme sur les mécanismes de financement.
Il ajoute que la mauvaise formulation des demandes de crédit constitue aussi un frein à l’accès au financement, malgré tous les dispositifs d’appui qui sont mis en place par l’Etat du Sénégal pour aider les Pme à accéder au financement. Il ya également, poursuit-il, le manque de sérénité dans la prise de décision d’octroi de crédits, la tarification des crédits destinés aux Pme, le défaut d’adressage et le déficit d’information.
Toutefois, il précise que l’Etat du Sénégal a mis en place de nombreuses structures d’accompagnement des Pme pour faire face au problème du financement. « Il ya un accompagnement de l’Etat pour améliorer le cafre normatif et pour stimuler la bancarisation et le taux de financement. Les Pme ne se rapprochent pas aussi des structures d’encadrements existantes», a-t-il laissé entendre, avant de faire part que les banques ont financé 5775 milliards de francs Cfa au 31 décembre 2016.
Pour sa part, Oumar Diallo, représentant du ministère de l’économie, des finances et du plan à cette rencontre a reconnu que la problématique de l’accès des Pme au financement demeure encore faible .Toutefois, il informe que la contribution du secteur bancaire au financement de l’économie tourne autour de 36% à fin décembre 2015, contrairement aux taux observés dans des pays tels que le Maroc , la Tunisie et l’Allemagne du Sud qui ressortent à plus de 70%
Les petites et moyennes entreprises (Pme) ont toujours du mal à obtenir un financement des banques. Ils sont souvent confrontés à un certain nombre de difficultés. Ainsi, la première contrainte qui entrave l’accès au financement des Pme est, selon l’observatoire de la qualité des services financiers (Oqsf), la nature des garanties infligées. «Le premier motif de rejet de dossiers de financement, c’est les garanties. Les Pme ne sont pas à mesure de fournir les garanties exigées parce qu’elles sont considérées comme un risque», a fait savoir Habib Ndao, directeur exécutif de l’observatoire de la qualité des services. Il s’exprimait hier, jeudi 13 avril, lors de l’atelier de sensibilisation des Pme sur les mécanismes de financement.
Il ajoute que la mauvaise formulation des demandes de crédit constitue aussi un frein à l’accès au financement, malgré tous les dispositifs d’appui qui sont mis en place par l’Etat du Sénégal pour aider les Pme à accéder au financement. Il ya également, poursuit-il, le manque de sérénité dans la prise de décision d’octroi de crédits, la tarification des crédits destinés aux Pme, le défaut d’adressage et le déficit d’information.
Toutefois, il précise que l’Etat du Sénégal a mis en place de nombreuses structures d’accompagnement des Pme pour faire face au problème du financement. « Il ya un accompagnement de l’Etat pour améliorer le cafre normatif et pour stimuler la bancarisation et le taux de financement. Les Pme ne se rapprochent pas aussi des structures d’encadrements existantes», a-t-il laissé entendre, avant de faire part que les banques ont financé 5775 milliards de francs Cfa au 31 décembre 2016.
Pour sa part, Oumar Diallo, représentant du ministère de l’économie, des finances et du plan à cette rencontre a reconnu que la problématique de l’accès des Pme au financement demeure encore faible .Toutefois, il informe que la contribution du secteur bancaire au financement de l’économie tourne autour de 36% à fin décembre 2015, contrairement aux taux observés dans des pays tels que le Maroc , la Tunisie et l’Allemagne du Sud qui ressortent à plus de 70%