Pour Cheikh Tidiane Diakhaté, l’institution qu’il coiffe a joué pleinement sa partition. « Pour sa part, le Conseil constitutionnel, seul organe habilité à dire le droit, estime avoir joué sa partition avec responsabilité, sérénité et impartialité, malgré les contrevérités, agressions, insultes, menaces et invectives », s’explique-t-il.
Il est convaincu que le Conseil constitutionnel « a dans sa plénitude accompli son devoir avec comme bréviaire l’exhortation de l’écrivain Jérôme Carlos : « Demain, dans le tir groupé des tireurs embusqués, décochant depuis leur sombre repaire des flèches assassines contre votre propre personne, retenez que c’est l’ambigüe destin de ceux qui s’élèvent au dessus du lot commun ».
Il est convaincu que le Conseil constitutionnel « a dans sa plénitude accompli son devoir avec comme bréviaire l’exhortation de l’écrivain Jérôme Carlos : « Demain, dans le tir groupé des tireurs embusqués, décochant depuis leur sombre repaire des flèches assassines contre votre propre personne, retenez que c’est l’ambigüe destin de ceux qui s’élèvent au dessus du lot commun ».