SETAL.NET - Le journaliste Cheikh Yérim Seck condamné en première instance à trois ans de prison pour viol au préjudice de Ndèye Aïssatou Tall a été jugé en appel ce vendredi.
Procès au cours duquel l’avocat général a demandé que la peine infligée au patron de Dakaractu.com soit revue à la baisse. Les avocats de la Défense ont plaidé la relaxe pure et simple au bénéfice du doute.
Quant à la partie civile, elle a maintenue ses accusations et estime que le jugement de première instance doit être maintenu.
Invité à revenir sur les circonstances du viol, Cheikh Yérim Seck a botté en touche. À l’en croire, il n’a jamais été question pour lui de violer Ndèye Aïssatou Tall. « Je n’ai pas violé et je violerai jamais. Cette affaire est bien malheureuse. Je le ressens douloureusement », a laissé entendre le journaliste qui toutefois, dit n’avoir gardé aucune rancune. Ce, malgré les 7 mois passés en prison. « C’est une histoire d’amour qui a mal tourné », a-t-il ajouté non sans faire remarquer qu’en Afrique, les femmes n’assument pas leur maturité. Il sera fixé sur son sort le 22 mars prochain. D’ici là, le journaliste est retourné au Camp pénal.
Procès au cours duquel l’avocat général a demandé que la peine infligée au patron de Dakaractu.com soit revue à la baisse. Les avocats de la Défense ont plaidé la relaxe pure et simple au bénéfice du doute.
Quant à la partie civile, elle a maintenue ses accusations et estime que le jugement de première instance doit être maintenu.
Invité à revenir sur les circonstances du viol, Cheikh Yérim Seck a botté en touche. À l’en croire, il n’a jamais été question pour lui de violer Ndèye Aïssatou Tall. « Je n’ai pas violé et je violerai jamais. Cette affaire est bien malheureuse. Je le ressens douloureusement », a laissé entendre le journaliste qui toutefois, dit n’avoir gardé aucune rancune. Ce, malgré les 7 mois passés en prison. « C’est une histoire d’amour qui a mal tourné », a-t-il ajouté non sans faire remarquer qu’en Afrique, les femmes n’assument pas leur maturité. Il sera fixé sur son sort le 22 mars prochain. D’ici là, le journaliste est retourné au Camp pénal.