L’ancien reporter de Jeuneafrique, Cheikh Yerim Seck n’a plus la totalité de sa dentition. Le journaliste, emprisonné pour viol a perdu si l’on en croit à l’As, une bonne partie de sa denture. Tout cela, poursuit notre source est le résultat de la violence et torture qu’il a subi. La preuve, des gens qui l’ont rencontré ont été très surpris de le voir dans cet état de violence dans lequel il se trouve aujourd’hui, dans un pays où on crie sur tous les toits que les prisonniers sont toujours biens traités, leurs droits sont respectés.