SETAL.NET-Se confiant au quotidien Le Soleil à l’issue de sa visite de trois jours au Sénégal, la directrice générale du Fonds monétaire international (Fmi), madame Christine Lagarde, a retenu, au cours de son séjour, la « détermination sans faille » et le « courage » des autorités sénégalaises pour faire les réformes nécessaires à l’émergence du pays.
La directrice générale du Fonds monétaire international (Fmi), madame Christine Lagarde, a quitté le Sénégal sur une note d’espoir, tout en saluant la détermination des autorités à mettre en œuvre les réformes nécessaires pour atteindre l’émergence. Très émue, Mme Lagarde a refusé de faire un bilan « à chaud » de son séjour au Sénégal. « Faire un bilan n’est pas possible, parce qu’il s’est passé beaucoup de choses, ma visite a été remplie de rencontres, d’événements, de dialogues, de réunions productives… Faire donc un bilan à chaud comme ça, ce n’est pas possible. », a-telle déclaré, à l’aéroport de Dakar, en présence du ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ.
Interrogée sur les réformes à mener par l’Etat pour dynamiser l’économie, la directrice générale du Fmi s’est voulue optimiste. « J’ai trouvé, à la fois, chez le président de la République, chez le Premier ministre et toute son équipe, bien sûr, au premier rang le ministre des Finances, une détermination sans faille, beaucoup de courage pour aller de l’avant et faire des réformes nécessaires et courageuses. On vit d’espoir. Bien sûr que j’ai de l’espoir. Mais il faut y aller, mettre tout en œuvre avec courage et détermination », a-t-elle avancé.
Lors de ses différentes allocutions durant son séjour en terre sénégalaise, Mme Lagarde a qualifié d’ambitieux le Plan Sénégal émergent (Pse) qui vise un taux de croissance de 7 à 8 % sur dix ans.
Accélérer les réformes
Des objectifs réalisables « s’il y a une rupture radicale avec le passé », réitère-t-elle dans une déclaration publiée par les services du Fmi. « Il est retenu que les réformes devaient être accélérées et approfondies de manière à créer un espace économique pour les Pme et l’investissement direct étranger ; diversifier et développer les exportations et créer les emplois qui sont le fondement d’une croissance économique profitant à tous. Les efforts déjà entamés pour améliorer l’efficacité de la dépense publique doivent être renforcés », a-t-elle ajouté.
Christine Lagarde a exprimé le plaisir de sa première visite au Sénégal. « Je tiens à remercier le président Macky Sall pour son hospitalité et la qualité de nos discussions. Je voudrais aussi remercier le Premier ministre Mohammad Dionne et le ministre des Finances Amadou Bâ des entretiens fructueux que nous avons eus. J’ai aussi eu l’honneur de prononcer une allocution devant l’Assemblée nationale présidée par M. Moustapha Niasse. Enfin, j’ai eu un dialogue enrichissant avec des femmes leaders et les étudiants des écoles de commerce de Dakar », lit-on dans la déclaration.
Mme Lagarde confond, dans ses remerciements, le gouverneur de la Bceao, Tiémoko Meyliet Koné, qui l’a invitée, vendredi dernier, à une table ronde sur « l’intégration financière au service de la croissance inclusive ». « L’Afrique subsaharienne demeure l’une des régions les plus dynamiques au monde. Mais les fruits de la croissance doivent y être partagés par un plus grand nombre. La région doit mettre à profit l’atout qu’elle détient d’un système financier régional intégré qui fonctionne bien, afin d’élargir l’accès aux services financiers. Il serait possible, entre autres, de mieux tirer parti des possibilités offertes par les technologies de l’information et de la communication », estime la directrice générale du Fmi.
La directrice générale du Fonds monétaire international (Fmi), madame Christine Lagarde, a quitté le Sénégal sur une note d’espoir, tout en saluant la détermination des autorités à mettre en œuvre les réformes nécessaires pour atteindre l’émergence. Très émue, Mme Lagarde a refusé de faire un bilan « à chaud » de son séjour au Sénégal. « Faire un bilan n’est pas possible, parce qu’il s’est passé beaucoup de choses, ma visite a été remplie de rencontres, d’événements, de dialogues, de réunions productives… Faire donc un bilan à chaud comme ça, ce n’est pas possible. », a-telle déclaré, à l’aéroport de Dakar, en présence du ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ.
Interrogée sur les réformes à mener par l’Etat pour dynamiser l’économie, la directrice générale du Fmi s’est voulue optimiste. « J’ai trouvé, à la fois, chez le président de la République, chez le Premier ministre et toute son équipe, bien sûr, au premier rang le ministre des Finances, une détermination sans faille, beaucoup de courage pour aller de l’avant et faire des réformes nécessaires et courageuses. On vit d’espoir. Bien sûr que j’ai de l’espoir. Mais il faut y aller, mettre tout en œuvre avec courage et détermination », a-t-elle avancé.
Lors de ses différentes allocutions durant son séjour en terre sénégalaise, Mme Lagarde a qualifié d’ambitieux le Plan Sénégal émergent (Pse) qui vise un taux de croissance de 7 à 8 % sur dix ans.
Accélérer les réformes
Des objectifs réalisables « s’il y a une rupture radicale avec le passé », réitère-t-elle dans une déclaration publiée par les services du Fmi. « Il est retenu que les réformes devaient être accélérées et approfondies de manière à créer un espace économique pour les Pme et l’investissement direct étranger ; diversifier et développer les exportations et créer les emplois qui sont le fondement d’une croissance économique profitant à tous. Les efforts déjà entamés pour améliorer l’efficacité de la dépense publique doivent être renforcés », a-t-elle ajouté.
Christine Lagarde a exprimé le plaisir de sa première visite au Sénégal. « Je tiens à remercier le président Macky Sall pour son hospitalité et la qualité de nos discussions. Je voudrais aussi remercier le Premier ministre Mohammad Dionne et le ministre des Finances Amadou Bâ des entretiens fructueux que nous avons eus. J’ai aussi eu l’honneur de prononcer une allocution devant l’Assemblée nationale présidée par M. Moustapha Niasse. Enfin, j’ai eu un dialogue enrichissant avec des femmes leaders et les étudiants des écoles de commerce de Dakar », lit-on dans la déclaration.
Mme Lagarde confond, dans ses remerciements, le gouverneur de la Bceao, Tiémoko Meyliet Koné, qui l’a invitée, vendredi dernier, à une table ronde sur « l’intégration financière au service de la croissance inclusive ». « L’Afrique subsaharienne demeure l’une des régions les plus dynamiques au monde. Mais les fruits de la croissance doivent y être partagés par un plus grand nombre. La région doit mettre à profit l’atout qu’elle détient d’un système financier régional intégré qui fonctionne bien, afin d’élargir l’accès aux services financiers. Il serait possible, entre autres, de mieux tirer parti des possibilités offertes par les technologies de l’information et de la communication », estime la directrice générale du Fmi.