Une girouette, c’est connu, tourne dans le sens du vent. Dès lors, y at-il pire qu’une girouette qui ne sait plus où trouver du vent ? Ce serait dramatique car la fonction première de la girouette (tourner au gré du vent) cesserait. Ce faisant, la girouette ne serait plus qu’un simple élément du décor, dans la nature.
C’est ce qui est arrivé apparemment à Cissé Kane Ndao. J’ai parfois éprouvé de de la peine, à chaque fois que je lisais ses sorties, dès fois à l’emporte-pièce, souvent sans rigueur, et toujours sans consistance ni essence.
Je me suis souvent amusé à le voir, après avoir attaqué sans répit et sans fondement, le couple présidentiel, se mettre, subitement, à tirer sur Macky et à jouer de la lyre pour Marème. En effet, Monsieur Ndao s’est récemment distingué par un poème élogieux et dithyrambique destiné à la première dame tout en déversant sa bile sur le Président. Pour rappel, nous reproduisons ci-dessous un extrait d’un poème que Cissé Kane Ndao a dédié, il y a peu, à la première dame :
«Mère d’entre les mères par votre statut,
Active sur le terrain social aux côtés du peuple éprouvé, vous
Ravivez l’espoir au sein des foyers et dans le cœur des hommes.
Elégante par votre allure altière, et votre port de reine,
Macky vous célèbre et vous rend un hommage mérité, car
Entre lui et vous, Madame, un serment scelle votre complicité intemporelle. »
Et dont l’intégralité peut être consultée en ligne : http://senego.com/2016/06/09/hommage-a-la-1ere-dame-cisse-kane-ndao-lanti-macky-chante-mareme-faye-sall_327716.html
Croyait-il que cela lui ouvrirait automatiquement les portes du pouvoir ? Sans doute. Mais c’était sans connaitre la première dame qui est insensible aux chants intéressés surtout lorsque la chanson sonne faux.
Dès lors, de guerre lasse, ne voilà-t-il pas que Cissé kane Ndao se met à changer de fusil d’épaule en tentant de s’appuyer sur un article écrit sur des bases hypothétiques et sans fondement autre que des suppositions et des invraisemblances pour, cette fois-ci, s’attaquer à la première dame.
Il est temps, dès lors, de dire, amicalement et sans animosité aucune, à Cissé Kane Ndao, l’homme aux trois noms: stop ! Il n’est pas bien de s’en prendre de manière gratuite à une famille et de verser dans la calomnie pour forcer l’attention de ceux qui ne vous admirent point.
Le Président Macky Sall et la première dame choisissent librement leurs amis et leurs collaborateurs. Ni le chant, fut-il poétique, ni la danse des mots, fut-elle celle d’un littéraire aguerri, ne forcent leur porte.
Samba Dieng
dieng.samba@hotmail.com
C’est ce qui est arrivé apparemment à Cissé Kane Ndao. J’ai parfois éprouvé de de la peine, à chaque fois que je lisais ses sorties, dès fois à l’emporte-pièce, souvent sans rigueur, et toujours sans consistance ni essence.
Je me suis souvent amusé à le voir, après avoir attaqué sans répit et sans fondement, le couple présidentiel, se mettre, subitement, à tirer sur Macky et à jouer de la lyre pour Marème. En effet, Monsieur Ndao s’est récemment distingué par un poème élogieux et dithyrambique destiné à la première dame tout en déversant sa bile sur le Président. Pour rappel, nous reproduisons ci-dessous un extrait d’un poème que Cissé Kane Ndao a dédié, il y a peu, à la première dame :
«Mère d’entre les mères par votre statut,
Active sur le terrain social aux côtés du peuple éprouvé, vous
Ravivez l’espoir au sein des foyers et dans le cœur des hommes.
Elégante par votre allure altière, et votre port de reine,
Macky vous célèbre et vous rend un hommage mérité, car
Entre lui et vous, Madame, un serment scelle votre complicité intemporelle. »
Et dont l’intégralité peut être consultée en ligne : http://senego.com/2016/06/09/hommage-a-la-1ere-dame-cisse-kane-ndao-lanti-macky-chante-mareme-faye-sall_327716.html
Croyait-il que cela lui ouvrirait automatiquement les portes du pouvoir ? Sans doute. Mais c’était sans connaitre la première dame qui est insensible aux chants intéressés surtout lorsque la chanson sonne faux.
Dès lors, de guerre lasse, ne voilà-t-il pas que Cissé kane Ndao se met à changer de fusil d’épaule en tentant de s’appuyer sur un article écrit sur des bases hypothétiques et sans fondement autre que des suppositions et des invraisemblances pour, cette fois-ci, s’attaquer à la première dame.
Il est temps, dès lors, de dire, amicalement et sans animosité aucune, à Cissé Kane Ndao, l’homme aux trois noms: stop ! Il n’est pas bien de s’en prendre de manière gratuite à une famille et de verser dans la calomnie pour forcer l’attention de ceux qui ne vous admirent point.
Le Président Macky Sall et la première dame choisissent librement leurs amis et leurs collaborateurs. Ni le chant, fut-il poétique, ni la danse des mots, fut-elle celle d’un littéraire aguerri, ne forcent leur porte.
Samba Dieng
dieng.samba@hotmail.com