"Avoir plus de relations sexuelles augmente le bonheur, mais ce qui rend les gens encore plus heureux c'est de penser que notre fréquence de rapports est supérieure à celle des autres", affirme Tim Wadsworth, professeur de sociologie à l'Université du Colorado et auteur d'une étude publiée dans la revue Social Indicators Research.
Les chercheurs se sont intéressés aux habitudes de vie de 15.000 Américains pendant 13 ans. Leur première conclusion? Plus ces gens faisaient l'amour, plus ils étaient heureux. Ensuite, ils ont découvert que pour être vraiment satisfait de sa vie sexuelle, ce qui importe c'est d'avoir un peu plus de rapports sexuels que la moyenne. En Belgique, on précise qu'elle se situe entre huit et neuf rapports par mois, soit un peu plus de deux fois par semaine, selon la dernière Global Sex Survey.
"L'humain est une créature sociale; toute conscience de soi, toute identité, est dépendante du regard des autres", explique Wadsworth. Il ajoute: "Si un individu a deux ou trois rapports sexuels par mois mais pense que ses amis en ont quatre par mois, sa probabilité de se sentir heureux chute de 14%."
La faute à qui? Aux médias, principalement. Car peu de gens discutent ouvertement de la fréquence réelle de leurs rapports sexuels. "Les magazines tels que Glamour ou Cosmopolitan publient fréquemment des sondages sur le sexe." La télévision et le cinéma influencent également notre perception de la moyenne "idéale".
Les chercheurs se sont intéressés aux habitudes de vie de 15.000 Américains pendant 13 ans. Leur première conclusion? Plus ces gens faisaient l'amour, plus ils étaient heureux. Ensuite, ils ont découvert que pour être vraiment satisfait de sa vie sexuelle, ce qui importe c'est d'avoir un peu plus de rapports sexuels que la moyenne. En Belgique, on précise qu'elle se situe entre huit et neuf rapports par mois, soit un peu plus de deux fois par semaine, selon la dernière Global Sex Survey.
"L'humain est une créature sociale; toute conscience de soi, toute identité, est dépendante du regard des autres", explique Wadsworth. Il ajoute: "Si un individu a deux ou trois rapports sexuels par mois mais pense que ses amis en ont quatre par mois, sa probabilité de se sentir heureux chute de 14%."
La faute à qui? Aux médias, principalement. Car peu de gens discutent ouvertement de la fréquence réelle de leurs rapports sexuels. "Les magazines tels que Glamour ou Cosmopolitan publient fréquemment des sondages sur le sexe." La télévision et le cinéma influencent également notre perception de la moyenne "idéale".