Avec (26% des suffrages) au premier tour de la présidentielle de 2012, l’Alliance pour la République(Apr) reste confrontée à un problème de structuration dans les collectivités locales. Cette donne, renseigne l’Observateur n’est pas des meilleurs en prélude des élections locales de 2014. Mais pour y arriver, le chef de l’Etat initia l’Acte III de la décentralisation qui se veut un programme de recadrage et de mise sur pieds de nouvelles entités (pôles pourvoyeuses) du développement économiques. Toutefois, cette mesure certes salutaire, est –elle légale vu que les dispositions électorales interdisent de telles modifications six(6) mois avant les échéances électorales ? Une réalité, faudrait-il pas la souligner que le Cedeao aurait fustigé, car si l’Etat applique l’Acte III de la décentralisation, forcément il y’aurait un report des élections locales. Ce que le protocole sur la démocratie de la Cedeao lui interdit en son article 2, alinéa 1 de la section 2 relative aux élections. Elle stipule : Qu’ « aucune réforme substantielle de la loi électorale ne doit intervenir dans les six(6) mois précédent les élections sans le consentement d’une large majorité des acteurs politiques) Or, Idrissa Seck et le PDS réfute toute idée de report des locales.
Comment Macky Sall s'est-il heurté au protocole de la Cedeao... ?
SETAL.NET - En brandissant une modification des collectivités locales, sous le couvert de l’Acte III de la décentralisation, le chef de l’Etat, Macky Sall s’est heurté au protocole de la Cedeao.
Avec (26% des suffrages) au premier tour de la présidentielle de 2012, l’Alliance pour la République(Apr) reste confrontée à un problème de structuration dans les collectivités locales. Cette donne, renseigne l’Observateur n’est pas des meilleurs en prélude des élections locales de 2014. Mais pour y arriver, le chef de l’Etat initia l’Acte III de la décentralisation qui se veut un programme de recadrage et de mise sur pieds de nouvelles entités (pôles pourvoyeuses) du développement économiques. Toutefois, cette mesure certes salutaire, est –elle légale vu que les dispositions électorales interdisent de telles modifications six(6) mois avant les échéances électorales ? Une réalité, faudrait-il pas la souligner que le Cedeao aurait fustigé, car si l’Etat applique l’Acte III de la décentralisation, forcément il y’aurait un report des élections locales. Ce que le protocole sur la démocratie de la Cedeao lui interdit en son article 2, alinéa 1 de la section 2 relative aux élections. Elle stipule : Qu’ « aucune réforme substantielle de la loi électorale ne doit intervenir dans les six(6) mois précédent les élections sans le consentement d’une large majorité des acteurs politiques) Or, Idrissa Seck et le PDS réfute toute idée de report des locales.
Pape Diattao Badji
Mardi 17 Septembre 2013 12:43
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