Malgré tous les soupçons qui pèsent sur Abdoulaye Niang, le ministre de l’Intérieur, le Général Pathé Seck animé certes par cette volonté de blanchir et de protéger Abdoulaye Niang (ayant appris tout cela selon le commissaire Keita) n’a varié dans sa position et sa proposition de nommer ce commissaire à la DGPN. « Pathé Sek savait tout. Mais le président de la République ne devait pas être informé, sinon il n’aurait validé sa nomination. Aujourd’hui, on continue de le ridiculiser en l’enfermant dans des rapports au lieu de se dire : Qu’est ce qui s’est passé pour qu’on le (Niang) nomme à la tête de la Police » regrette le commissaire Keita, dans Le Quotidien.
Et de poursuivre « Des décisions devraient être prises, mais elles ne l’ont pas été. En nomment Abdoulaye Niang à la tête de la Police, Pathé Seck a ouvert la boite de Pandore. Le mal s’est répandu dans le pays, dans le monde. Quelqu’un qui a fricoté avec les narcotrafiquants, ne peut être nommé à ce poste. La drogue détruit la Police. Elle doit regarder cette affaire en face au lieu de fuir le débat ».
Et de poursuivre « Des décisions devraient être prises, mais elles ne l’ont pas été. En nomment Abdoulaye Niang à la tête de la Police, Pathé Seck a ouvert la boite de Pandore. Le mal s’est répandu dans le pays, dans le monde. Quelqu’un qui a fricoté avec les narcotrafiquants, ne peut être nommé à ce poste. La drogue détruit la Police. Elle doit regarder cette affaire en face au lieu de fuir le débat ».