SETAL.NET - C’est à l’âge de 16 ans qu’elle a été donnée en mariage à un de ses cousins. Mais trois après leur mariage, son homme montre un nouveau visage. « Quand on a eu notre premier enfant, il m’a clairement fait savoir qu’il ne voulait pas de beaucoup d’enfant. Stupéfaite par cette remarque, je lui fais noter que si on se marie, c’est parce qu’on veut une progéniture. Mais il est resté de marbre », raconte-t-elle.
Quelques temps après, son cousin de mari qui commençait à avoir de nouvelles fréquentations, ne restait plus auprès d’elle à partir de 22 heures. Les rares moments qu’ils passaient ensembles, il lui proposait le sexe anal. « Il voulait qu’on fasse le sexe anal, à l’image de ce que font les homosexuels. Je lui ai opposé un niet catégorique. Mais il s’est mis à me frapper, à me brutaliser avant de menacer de trouver quelqu’un qui acceptera de le faire avec lui. Je m’en suis ouvert à ma belle-mère, mais celle-ci était comme insensible à mes requêtes », rembobine-t-elle le film du début de son calvaire.
Mais elle ne s’est une idée sur les nouvelles fréquentations de son mari que le jour où elle l’a suivi dans un hôtel de la place. Ce jour-là, monsieur rejoignait son amant, un homme blanc qu’il a fait venir au Sénégal, rien que pour entretenir des relations sexuelles avec lui. « Il m’a dit qu’il avait un ami, un blanc qui devait venir au Sénégal. Mais au lieu de l’accueillir chez nous, il a préféré l’emmener à l’hôtel. C’est là que j’ai commencé à avoir un mauvais pressentiment. Un jour, j’ai pris un taxi et je l’ai suivi. Une filature qui a payé puisque je l’ai suivi jusqu'à la chambre de son ami blanc. Quand j’ai su de quoi cela retournait, je suis rentrée chez moi, le cœur serré. Quand il est rentré, je l’ai interpellé sur son comportement bizarre avec son ami, il n’a pas cherché de midi à quatorze heures pour me dire que c’est ce que je refuse de lui donner que son ami blanc lui procure. Le monde s’écroule sous mes pieds. Je ne sais plus à quel mari me fier. J’en ai parlé à mes parents qui m’ont enjoint de quitter cette maison illico presto. Ce j’ai fait sans demander mes restes. Mais ce n’était pas une partie de plaisir car il a voulu avoir la garde des trois filles que nous avons eues. Je l’ai trainé en justice et je l’ai remporté haut la main. Il verse aux enfants une modique pension de 40 mille francs par mois mais le plus important pour moi, c’est qu’il n’ait aucune influence sur elles. Il a eu d’autres femmes dans sa vie et vit comme un pacha, ce qui ne me surprend pas, vu sa nouvelle tasse de thé. Moi aussi je me suis remarié avec un autre et je remercie le Bon Dieu de m’avoir extirpé des mains de cet homme ».
Quelques temps après, son cousin de mari qui commençait à avoir de nouvelles fréquentations, ne restait plus auprès d’elle à partir de 22 heures. Les rares moments qu’ils passaient ensembles, il lui proposait le sexe anal. « Il voulait qu’on fasse le sexe anal, à l’image de ce que font les homosexuels. Je lui ai opposé un niet catégorique. Mais il s’est mis à me frapper, à me brutaliser avant de menacer de trouver quelqu’un qui acceptera de le faire avec lui. Je m’en suis ouvert à ma belle-mère, mais celle-ci était comme insensible à mes requêtes », rembobine-t-elle le film du début de son calvaire.
Mais elle ne s’est une idée sur les nouvelles fréquentations de son mari que le jour où elle l’a suivi dans un hôtel de la place. Ce jour-là, monsieur rejoignait son amant, un homme blanc qu’il a fait venir au Sénégal, rien que pour entretenir des relations sexuelles avec lui. « Il m’a dit qu’il avait un ami, un blanc qui devait venir au Sénégal. Mais au lieu de l’accueillir chez nous, il a préféré l’emmener à l’hôtel. C’est là que j’ai commencé à avoir un mauvais pressentiment. Un jour, j’ai pris un taxi et je l’ai suivi. Une filature qui a payé puisque je l’ai suivi jusqu'à la chambre de son ami blanc. Quand j’ai su de quoi cela retournait, je suis rentrée chez moi, le cœur serré. Quand il est rentré, je l’ai interpellé sur son comportement bizarre avec son ami, il n’a pas cherché de midi à quatorze heures pour me dire que c’est ce que je refuse de lui donner que son ami blanc lui procure. Le monde s’écroule sous mes pieds. Je ne sais plus à quel mari me fier. J’en ai parlé à mes parents qui m’ont enjoint de quitter cette maison illico presto. Ce j’ai fait sans demander mes restes. Mais ce n’était pas une partie de plaisir car il a voulu avoir la garde des trois filles que nous avons eues. Je l’ai trainé en justice et je l’ai remporté haut la main. Il verse aux enfants une modique pension de 40 mille francs par mois mais le plus important pour moi, c’est qu’il n’ait aucune influence sur elles. Il a eu d’autres femmes dans sa vie et vit comme un pacha, ce qui ne me surprend pas, vu sa nouvelle tasse de thé. Moi aussi je me suis remarié avec un autre et je remercie le Bon Dieu de m’avoir extirpé des mains de cet homme ».