SETAL.NET - Dans sa parution de ce lundi, le quotidien Grand’Place a consacré une large partie aux hommes mariés volages qui se font de temps en temps importuner par leurs seconds bureaux et des méthodes employées pour ne pas se faire prendre par Madame. Ces messieurs qui ne pensent pas une seule fois se séparer de leurs maitresses font tout pour que leurs épouses ne soupçonnent rien.
En effet, s’ils ne mettent pas en mode vibreur leur téléphone, celui-ci est mis en silence sinon tout simplement éteint. Mais il existe d’autres méthodes. Selon cette jeune femme, son amant lui a demandé de ne plus l’appeler à une certaine heure. « Je prends les heures de la journée, et sa femme celles de la nuit », confie-t-elle.
Pour d’autres, la parade consiste à changer de ton ou même d’appellation lorsque leurs maitresses appellent. Au lieu des chéries et autres « bb », on a droit à « Sokhnasi » ou « je suis pris, je te rappelle demain ».
Mais que ces hommes infidèles ne se leurrent pas. Leurs femmes savent tout de leur petit manège. Par exemple, cette assistante de direction dit qu’elle est au courant des escapades de son mais ne lui dira rien. « Il faut le laisser avec sa conscience », s’est-elle résigné tout en croyant dur comme fer que c’est le seul remède.
En effet, s’ils ne mettent pas en mode vibreur leur téléphone, celui-ci est mis en silence sinon tout simplement éteint. Mais il existe d’autres méthodes. Selon cette jeune femme, son amant lui a demandé de ne plus l’appeler à une certaine heure. « Je prends les heures de la journée, et sa femme celles de la nuit », confie-t-elle.
Pour d’autres, la parade consiste à changer de ton ou même d’appellation lorsque leurs maitresses appellent. Au lieu des chéries et autres « bb », on a droit à « Sokhnasi » ou « je suis pris, je te rappelle demain ».
Mais que ces hommes infidèles ne se leurrent pas. Leurs femmes savent tout de leur petit manège. Par exemple, cette assistante de direction dit qu’elle est au courant des escapades de son mais ne lui dira rien. « Il faut le laisser avec sa conscience », s’est-elle résigné tout en croyant dur comme fer que c’est le seul remède.