En effet, depuis maintenant un temps, cette phrase est certes répandue dans les grand places, marchés, rues etc mais le sens, le contenu est plus que subjectif. Force est aujourd’hui, d’affirmer que Macky Sall en personne a même donné de la valeur à cette expression hier au Palais lors d’un « Ndogou » (rupture du jeûne) avec la presse. Une expression que certains formulent de la sorte : « Deuk bi dafa Macky » qui signifie littéralement (la vie est difficile). Mais on peut comprendre facilement ce besoin que le chef de l’Etat Macky Sall a éprouvé pour apporter une réponse à tout cela : le contrat qui le lie naturellement au peuple.
D’abord, il convient de faire une remarque objective. Toutes les expériences, œuvres ou projets sont destinés à aboutir à un résultat. Qu’il soit bon ou mauvais. Dans toutes les choses de la vie, ya t-il des conséquences sans causes ? Alors si telle est vraiment la situation (l’argent ne circule pas) qui prévaut, dans ce pays, en quoi Macky est-il vraiment et entièrement responsable de ça, si son tort n'est pas d’être le successeur d’Abdoulaye Wade, en mars 2012.
Et ce n'est pas parce que cet argent n’a pu circuler comme il en était au régime précédent qu’il faut tirer à boulets rouges sur lui. Non ça sera de la politique politicienne, qu’il nous faut bannir si nous voulons nous développer. Aujourd’hui c’est un secret de Polichinelle de dire que la tâche ne lui sera pas facile avec l’état dans lequel le pays lui a été légué par le régime précédent. C’est ça la vérité. Combien de scandales financiers ont-ils été décelés sous Wade, combien projets inutiles (Fesman, Monument de la Renaissance) à hauteurs de milliards ont vu le jour ? Combien de millions et milliards avait-il offerts (Alex Segura, sans compter certains des artistes avant l’élection présidentielle).
Ensuite depuis quand avons-nous l’habitude de voir l’argent circuler de la sorte, si n’est pas pendant la période durant laquelle l’ancien président Abdoulaye était au devant de la scène ? L’heure n’est pas encore au bilan de la circulation ou non de l’argent. Car dans son programme de campagne électorale dernière, Macky Sall n’a promis nulle part de faire circuler de l’argent comme ce n’est pas possible. Personne parmi les citoyens lambda, ne savait la provenance de cet argent que les gens avaient l’habitude de voir auparavant.
En outre, il conviendra d’affirmer que certes c’est difficile, mais qui est responsable ? Celui qui avait géré auparavant ou celui que le peuple a choisi pour redresser la situation. Alors si on nous répond que c’est le second, nous serons en mesure de poser la question, à savoir, quel est le sens de cet engagement de botter le prédécesseur hors du pouvoir. C’est difficile à entendre certes, mais c’est la triste réalité. Alors ce qu’il faut tirer comme enseignement sur ce comportement typiquement sénégalais c’est cette évidence sur la formule malheureuse Wolof qui dit : « Haalis kèen dou ko liguèèy, daniou koy lidientii, », qui veut dire (Ce n’est pas seulement par le travail qu’on gagne de l’argent, mais on peut se démerder pour en trouver, la manière importe peu).
En plus, il faut dire que notre société semble toujours oublier vite, d’une part, mais de l’autre le décryptage des déclarations des politiciens nous passent toujours au nez. Et pour preuve, le porte parole d’Abdoulaue Wade, Serigne Mbacké Ndiaye a clairement appelé ses camarades du pouvoir à l’époque de bien vouloir mouiller leur maillots pour pouvoir gagner la présidentielle, faute de quoi, ils seront emprisonnés.
Il y’a une multitude de questions qu’on pourrait se poser sur les motivations d’une telle déclaration, qu’est-ce que l’ancien parti au pouvoir a fait pour mériter un tel sort s’il perd les rênes du pouvoir ? Autant de questions qui tarauderaient l’esprit de plus d'un homme averti. Mais auparavant, les biens des ministres de Wade seraient intarissables nous dit-on! Mêmes aux ministres qui n’avaient pas de boulot auparavant.
Toutefois, le plus intelligent était de se demander d’où provient cet argent qui circulait en abondance et sans contrôle majeur. Et sur cette manne si Jean, ce simple citoyen ordinaire, y perçoit 5000 FCFA, Paul qui est peut être ministre, en percevra 100 fois plus. Et sans compter peut être les biens qu’il mettra à sa disposition avec cet argent. C’est dans ce contexte que se situait réellement le pays. La vie était tellement difficile que si on donne 100 francs, chaque jour, chaque semaine et chaque mois à une personne, elle dira naturellement que l’argent circule. Mais comment cet argent a-t-il été mis en circulation ? Si le citoyen lamba se retrouve avec une somme bien déterminée à la fin du mois et dont l'origine licite reste à prouver, combien percevrait celui qui émet cet argent en circulation depuis le sommet ?
D’abord, il convient de faire une remarque objective. Toutes les expériences, œuvres ou projets sont destinés à aboutir à un résultat. Qu’il soit bon ou mauvais. Dans toutes les choses de la vie, ya t-il des conséquences sans causes ? Alors si telle est vraiment la situation (l’argent ne circule pas) qui prévaut, dans ce pays, en quoi Macky est-il vraiment et entièrement responsable de ça, si son tort n'est pas d’être le successeur d’Abdoulaye Wade, en mars 2012.
Et ce n'est pas parce que cet argent n’a pu circuler comme il en était au régime précédent qu’il faut tirer à boulets rouges sur lui. Non ça sera de la politique politicienne, qu’il nous faut bannir si nous voulons nous développer. Aujourd’hui c’est un secret de Polichinelle de dire que la tâche ne lui sera pas facile avec l’état dans lequel le pays lui a été légué par le régime précédent. C’est ça la vérité. Combien de scandales financiers ont-ils été décelés sous Wade, combien projets inutiles (Fesman, Monument de la Renaissance) à hauteurs de milliards ont vu le jour ? Combien de millions et milliards avait-il offerts (Alex Segura, sans compter certains des artistes avant l’élection présidentielle).
Ensuite depuis quand avons-nous l’habitude de voir l’argent circuler de la sorte, si n’est pas pendant la période durant laquelle l’ancien président Abdoulaye était au devant de la scène ? L’heure n’est pas encore au bilan de la circulation ou non de l’argent. Car dans son programme de campagne électorale dernière, Macky Sall n’a promis nulle part de faire circuler de l’argent comme ce n’est pas possible. Personne parmi les citoyens lambda, ne savait la provenance de cet argent que les gens avaient l’habitude de voir auparavant.
En outre, il conviendra d’affirmer que certes c’est difficile, mais qui est responsable ? Celui qui avait géré auparavant ou celui que le peuple a choisi pour redresser la situation. Alors si on nous répond que c’est le second, nous serons en mesure de poser la question, à savoir, quel est le sens de cet engagement de botter le prédécesseur hors du pouvoir. C’est difficile à entendre certes, mais c’est la triste réalité. Alors ce qu’il faut tirer comme enseignement sur ce comportement typiquement sénégalais c’est cette évidence sur la formule malheureuse Wolof qui dit : « Haalis kèen dou ko liguèèy, daniou koy lidientii, », qui veut dire (Ce n’est pas seulement par le travail qu’on gagne de l’argent, mais on peut se démerder pour en trouver, la manière importe peu).
En plus, il faut dire que notre société semble toujours oublier vite, d’une part, mais de l’autre le décryptage des déclarations des politiciens nous passent toujours au nez. Et pour preuve, le porte parole d’Abdoulaue Wade, Serigne Mbacké Ndiaye a clairement appelé ses camarades du pouvoir à l’époque de bien vouloir mouiller leur maillots pour pouvoir gagner la présidentielle, faute de quoi, ils seront emprisonnés.
Il y’a une multitude de questions qu’on pourrait se poser sur les motivations d’une telle déclaration, qu’est-ce que l’ancien parti au pouvoir a fait pour mériter un tel sort s’il perd les rênes du pouvoir ? Autant de questions qui tarauderaient l’esprit de plus d'un homme averti. Mais auparavant, les biens des ministres de Wade seraient intarissables nous dit-on! Mêmes aux ministres qui n’avaient pas de boulot auparavant.
Toutefois, le plus intelligent était de se demander d’où provient cet argent qui circulait en abondance et sans contrôle majeur. Et sur cette manne si Jean, ce simple citoyen ordinaire, y perçoit 5000 FCFA, Paul qui est peut être ministre, en percevra 100 fois plus. Et sans compter peut être les biens qu’il mettra à sa disposition avec cet argent. C’est dans ce contexte que se situait réellement le pays. La vie était tellement difficile que si on donne 100 francs, chaque jour, chaque semaine et chaque mois à une personne, elle dira naturellement que l’argent circule. Mais comment cet argent a-t-il été mis en circulation ? Si le citoyen lamba se retrouve avec une somme bien déterminée à la fin du mois et dont l'origine licite reste à prouver, combien percevrait celui qui émet cet argent en circulation depuis le sommet ?