La valeur du marché des communications électroniques au Sénégal est estimée à 762,89 milliards de F CFA en 2019, soit une hausse de 4,59% par rapport à 2018. C’est ce qui ressort du rapport sur le marché des communications électroniques en 2019 publié par l’agence de régulation des télécommunications et des postes (ARTP).
Une hausse imputable à l’évolution favorable du chiffre d’affaires du marché de la téléphonie fixe, dont le trafic sortant vers l’international a augmenté de 24,73% en 2019. À cela s’ajoute l’impact des activités des Fournisseurs d’accès à Internet (FAI) après leur introduction dans le marché. Le rapport informe aussi que le secteur des communications électroniques contribue aussi à la création d’emplois du secteur moderne. Son poids (27%) avoisine celui du secteur de l’hébergement et de la restauration (29%) selon le rapport.
Une hausse imputable à l’évolution favorable du chiffre d’affaires du marché de la téléphonie fixe, dont le trafic sortant vers l’international a augmenté de 24,73% en 2019. À cela s’ajoute l’impact des activités des Fournisseurs d’accès à Internet (FAI) après leur introduction dans le marché. Le rapport informe aussi que le secteur des communications électroniques contribue aussi à la création d’emplois du secteur moderne. Son poids (27%) avoisine celui du secteur de l’hébergement et de la restauration (29%) selon le rapport.
Les opérateurs de télécommunications titulaires de licence de réseaux ouverts au public et les FAI, acteurs clés de l’économie numérique emploient 5.400 personnes en 2019, soit une hausse de 22,64% des effectifs salariés. Les emplois permanents constituent 64% contre 36% d’emplois intérimaires. Parallèlement à ces emplois salariés, de nombreux emplois non-salariés sont générés par l’activité des communications électroniques dont la quantification reste tout de même difficile à évaluer.
Le poids de la contribution à la croissance est plus important que celui de certains secteurs traditionnels tels que, l’hébergement et la restauration et les transports (source ANSD).
Le poids de la contribution à la croissance est plus important que celui de certains secteurs traditionnels tels que, l’hébergement et la restauration et les transports (source ANSD).