Les dames Nogaye Ngom, Ndèye Ndiaye Demba, Mame Dapou Souaré et Adama Dramé seront absentes de chez elles pendant 15 jours. Elles ont été hier condamnées à cette peine pour détention et usage de chanvre indien.
Voir des femmes s’adonner à la drogue, cela ne court pas les rues surtout si elles sont d’un certain âge. Mais pourtant, cela existe bel et bien. Les dames Nogaye Ngom née en 1959, Ndiaye Ndiaye (1957), Mame Dapou Souaré (1960) et Adama Dramé (1957) ont brisé cette glace. Parties à une cérémonie de décès, ces bonnes dames ne pouvaient pas résister à l’envie de fumer des joints de chanvre indien. Elles se sont ainsi retirées dans une maison pour fumer l’herbe qui tue. Les faits se sont passés le 22 novembre à Pikine, derrière le commissariat de police situé près du service d’hygiène.
Informés par une source anonyme, les policiers ont effectué un transport sur les lieux. Ils ont appréhendé les femmes à l’intérieur d’une pièce autour d’un sachet défait de chanvre indien en vrac. Mais le plus cocasse, c’est qu’à l’irruption des limiers, la dame Nogaye Ngom avait entre les mains un joint de chanvre indien entamé qu’elle était en train de fumer. A l’enquête préliminaire, elle a déclaré qu’elle se trouvait dans une cérémonie de deuil avec ses co-prévenues. Elles ont senti le besoin de se retirer dans une maison à proximité pour boire du thé et fumer de la cigarette. Et c’est dans le feu de l’action que la police a fait irruption dans la chambre, avant de les surprendre en train de fumer. Selon Nogaye Ngom, elles ont été dénoncées par une certaine Kiki qui les a piégées en jetant le cornet à l’endroit où elles étaient.
Poursuivies pour détention et usage de chanvre indien, les prévenues ont nié les faits à la barre. Elles ont toutes déclaré qu’elles fumaient de la cigarette et non du chanvre indien.
Le Parquet s’est rapporté à la sagesse du Tribunal.
Quant à l’avocat de la défense, il a plaidé la relaxe pure et simple. Selon Me Iba Mar Diop, il y a trop de contradictions dans cette affaire. A l’en croire, les policiers ont déclaré avoir trouvé un sachet défait de chanvre en vrac. Alors qu’en réalité, un seul cornet déjà entamé a été trouvé sur les lieux et pas entre les mains de ses clientes.
De toute façon, l’avocat n’emportera pas la conviction du Tribunal qui a déclaré toutes les prévenues coupables des faits qui leurs sont reprochés en les condamnant à 15 jours de prison.
Source: Le Quotidien
Voir des femmes s’adonner à la drogue, cela ne court pas les rues surtout si elles sont d’un certain âge. Mais pourtant, cela existe bel et bien. Les dames Nogaye Ngom née en 1959, Ndiaye Ndiaye (1957), Mame Dapou Souaré (1960) et Adama Dramé (1957) ont brisé cette glace. Parties à une cérémonie de décès, ces bonnes dames ne pouvaient pas résister à l’envie de fumer des joints de chanvre indien. Elles se sont ainsi retirées dans une maison pour fumer l’herbe qui tue. Les faits se sont passés le 22 novembre à Pikine, derrière le commissariat de police situé près du service d’hygiène.
Informés par une source anonyme, les policiers ont effectué un transport sur les lieux. Ils ont appréhendé les femmes à l’intérieur d’une pièce autour d’un sachet défait de chanvre indien en vrac. Mais le plus cocasse, c’est qu’à l’irruption des limiers, la dame Nogaye Ngom avait entre les mains un joint de chanvre indien entamé qu’elle était en train de fumer. A l’enquête préliminaire, elle a déclaré qu’elle se trouvait dans une cérémonie de deuil avec ses co-prévenues. Elles ont senti le besoin de se retirer dans une maison à proximité pour boire du thé et fumer de la cigarette. Et c’est dans le feu de l’action que la police a fait irruption dans la chambre, avant de les surprendre en train de fumer. Selon Nogaye Ngom, elles ont été dénoncées par une certaine Kiki qui les a piégées en jetant le cornet à l’endroit où elles étaient.
Poursuivies pour détention et usage de chanvre indien, les prévenues ont nié les faits à la barre. Elles ont toutes déclaré qu’elles fumaient de la cigarette et non du chanvre indien.
Le Parquet s’est rapporté à la sagesse du Tribunal.
Quant à l’avocat de la défense, il a plaidé la relaxe pure et simple. Selon Me Iba Mar Diop, il y a trop de contradictions dans cette affaire. A l’en croire, les policiers ont déclaré avoir trouvé un sachet défait de chanvre en vrac. Alors qu’en réalité, un seul cornet déjà entamé a été trouvé sur les lieux et pas entre les mains de ses clientes.
De toute façon, l’avocat n’emportera pas la conviction du Tribunal qui a déclaré toutes les prévenues coupables des faits qui leurs sont reprochés en les condamnant à 15 jours de prison.
Source: Le Quotidien
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