SETAL.NET - Le journaliste Amadou Diaw a réalisé un documentaire intitulé « Conseil constitutionnel : carnets secret » dans lequel il donne la parole aux acteurs impliqués dans le processus de validation de la candidature controversée de Me Abdoulaye Wade.
Parmi ces derniers, les professeurs Babacar Guèye et Pape Demba Sy qui font partie des rédacteurs de la Constitution de 2001. Ils ont estimé, selon l’As que dans leur esprit, ils ne voulaient plus d’un président qui reste très longtemps au pouvoir. Ils reconnaissent toutefois le manque de précision de la Constitution de 2001 dont l’article 27 prêtait à confusion.
Ce que le vice-président du Conseil constitutionnel, Isaac Yancoba Ndiaye n’a pas hésité à leur reprocher. Selon lui, les rédacteurs de la Constitution devaient préciser que dès que le mandat en cours est terminé, il est comptabilisé. « Si on évoque l’esprit de la Constitution, c’est que la lettre n’a pas été claire. On ne peut pas nous faire assumer la responsabilité de ce qu’ils (les rédacteurs) auraient du mettre dans la Constitution », regrette le vice-président du CC. Il a fustigé le lynchage médiatique dont ils étaient victimes. Toutefois, il a fait savoir que cela ne l’a pas pour autant déranger.
Tout le contraire de son collègue, Mouhamed Sonko dont la mort serait causée par ce lynchage médiatique. Son épouse fait savoir que les attaques des uns et des autres ont rongé son mari jusqu’à sa mort. « Cette histoire nous a détruit et ce problème (l’histoire des 5 millions alloués au aux cinq juges du Conseil constitutionnel alors qu’il n’en était rien), on le vit jusqu’à présent parce qu’on a sali leurs noms, on a écrit tout dans la presse qu’ils été corrompus et cela toujours mal », pleure-t-elle.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle l’ancien Premier ministre de Wade demande à tous ceux qui ont jeté l’opprobre sur les membres du Conseil constitutionnel de leur présenter de plates excuses.
Par rapport à l’invalidation de la candidature de Youssou Ndour, Isaac Yancoba Ndiaye révèle dans le documentaire du journaliste Amadou Diaw que le roi du Mbalax ne savait pas comment remplir le formulaire de candidature.
Parmi ces derniers, les professeurs Babacar Guèye et Pape Demba Sy qui font partie des rédacteurs de la Constitution de 2001. Ils ont estimé, selon l’As que dans leur esprit, ils ne voulaient plus d’un président qui reste très longtemps au pouvoir. Ils reconnaissent toutefois le manque de précision de la Constitution de 2001 dont l’article 27 prêtait à confusion.
Ce que le vice-président du Conseil constitutionnel, Isaac Yancoba Ndiaye n’a pas hésité à leur reprocher. Selon lui, les rédacteurs de la Constitution devaient préciser que dès que le mandat en cours est terminé, il est comptabilisé. « Si on évoque l’esprit de la Constitution, c’est que la lettre n’a pas été claire. On ne peut pas nous faire assumer la responsabilité de ce qu’ils (les rédacteurs) auraient du mettre dans la Constitution », regrette le vice-président du CC. Il a fustigé le lynchage médiatique dont ils étaient victimes. Toutefois, il a fait savoir que cela ne l’a pas pour autant déranger.
Tout le contraire de son collègue, Mouhamed Sonko dont la mort serait causée par ce lynchage médiatique. Son épouse fait savoir que les attaques des uns et des autres ont rongé son mari jusqu’à sa mort. « Cette histoire nous a détruit et ce problème (l’histoire des 5 millions alloués au aux cinq juges du Conseil constitutionnel alors qu’il n’en était rien), on le vit jusqu’à présent parce qu’on a sali leurs noms, on a écrit tout dans la presse qu’ils été corrompus et cela toujours mal », pleure-t-elle.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle l’ancien Premier ministre de Wade demande à tous ceux qui ont jeté l’opprobre sur les membres du Conseil constitutionnel de leur présenter de plates excuses.
Par rapport à l’invalidation de la candidature de Youssou Ndour, Isaac Yancoba Ndiaye révèle dans le documentaire du journaliste Amadou Diaw que le roi du Mbalax ne savait pas comment remplir le formulaire de candidature.