La Coupe du monde de football en Russie, a pris fin de manière prématurée pour l’équipe nationale de football au détour d’une défaite fatidique contre son homologue de la Colombie (0-1). Contrairement en Asmara en 1968 où la bande à Matar Niang a été éliminée par les subtilités de l’algèbre (Alou dixit) cette fois la règle impromptue du fair-play combinée au recours au VAR contesté a mis fin aux ambitions des poulains du coach Alioune Cissé.
C’est un retour douloureux au bercail pour les joueurs, l’encadrement technique, la délégation fédérale et les supporters. De toute évidence, un bilan de la participation des Lions à ce rendez-vous du football planétaire est à faire pour en tirer les enseignements utiles à la préparation des prochaines échéances.
En attendant, l’heure est pour le Président Macky Sall et son gouvernement de faire face aux dures réalités de la gestion du quotidien des populations. Entre les difficultés de l’approvisionnement en eau de la capitale Dakar et le retour au calme dans les universités, une bonne nouvelle pointe sur le front de l’économie.
La 6ème revue de l’instrument d’appui aux politiques économiques (ISPE) pour le Sénégal a confirmé une croissance de 7, 2 % en 2017. Cette certification de la Banque Mondiale est assortie de commentaires éloquents du directeur par intérim Mishuhiro Furusawa « Les efforts de réforme du Sénégal, tels qu’ils sont présentés dans le PSE et aidés par l’Instrument d’appui à la politique économique (ISPE) ont contribué à augmenter la croissance, tout en maintenant la stabilité économique, la croissance a atteint 7,2% en 2017 alors que l’inflation restait faible et le déficit budgétaire limité à 3% du Pib ».
Cette remarquable performance de l’économie place notre pays parmi les trois champions en Afrique avec le Rwanda et la Cote d’ivoire .Qui plus est pour un pays non producteur de pétrole ou de gaz et ne disposant pas de ressources naturelles. Donc, en la matière, toute chose étant égale par ailleurs, il est indéniable que le Sénégal serait qualifié à la finale du Championnat d’Afrique des Nations (CAN) d’économie.
L’économie sénégalaise a ainsi enregistré un rythme de croissance soutenu favorisé selon le directeur par intérim du FMI par « l’augmentation des recettes grâce à l’amélioration de l’efficacité des investissements publics et la réforme des prix de l’énergie créerait un espace pour financer durablement les besoins de développement » a poursuivi Mr Kurosawa. 2.
A ce propos, force est de reconnaitre, pour s’en réjouir, la prouesse réussie par le Ministre de l’économie, des finances et du plan, Amadou Ba et ses collaborateurs qui depuis leur avènement à la tête de ce département stratégique ont su incarner cette dynamique de croissance exceptionnelle de notre économie. Loin d’être un lot de consolation ces bonnes performances sur le terrain de l’économie et les finances participent d’un culte du travail et de l’abnégation qui dans le domaine sportif ou ailleurs constituent le vivier des champions
Comme quoi, un lion peut en cacher un autre sur la scène continentale ou mondiale. « Alors Sénégal ca Kanam » !
Ahmed Youssouph BENGELLOUNE
Président Kaolack Nouvelle Vision
(KNV)
C’est un retour douloureux au bercail pour les joueurs, l’encadrement technique, la délégation fédérale et les supporters. De toute évidence, un bilan de la participation des Lions à ce rendez-vous du football planétaire est à faire pour en tirer les enseignements utiles à la préparation des prochaines échéances.
En attendant, l’heure est pour le Président Macky Sall et son gouvernement de faire face aux dures réalités de la gestion du quotidien des populations. Entre les difficultés de l’approvisionnement en eau de la capitale Dakar et le retour au calme dans les universités, une bonne nouvelle pointe sur le front de l’économie.
La 6ème revue de l’instrument d’appui aux politiques économiques (ISPE) pour le Sénégal a confirmé une croissance de 7, 2 % en 2017. Cette certification de la Banque Mondiale est assortie de commentaires éloquents du directeur par intérim Mishuhiro Furusawa « Les efforts de réforme du Sénégal, tels qu’ils sont présentés dans le PSE et aidés par l’Instrument d’appui à la politique économique (ISPE) ont contribué à augmenter la croissance, tout en maintenant la stabilité économique, la croissance a atteint 7,2% en 2017 alors que l’inflation restait faible et le déficit budgétaire limité à 3% du Pib ».
Cette remarquable performance de l’économie place notre pays parmi les trois champions en Afrique avec le Rwanda et la Cote d’ivoire .Qui plus est pour un pays non producteur de pétrole ou de gaz et ne disposant pas de ressources naturelles. Donc, en la matière, toute chose étant égale par ailleurs, il est indéniable que le Sénégal serait qualifié à la finale du Championnat d’Afrique des Nations (CAN) d’économie.
L’économie sénégalaise a ainsi enregistré un rythme de croissance soutenu favorisé selon le directeur par intérim du FMI par « l’augmentation des recettes grâce à l’amélioration de l’efficacité des investissements publics et la réforme des prix de l’énergie créerait un espace pour financer durablement les besoins de développement » a poursuivi Mr Kurosawa. 2.
A ce propos, force est de reconnaitre, pour s’en réjouir, la prouesse réussie par le Ministre de l’économie, des finances et du plan, Amadou Ba et ses collaborateurs qui depuis leur avènement à la tête de ce département stratégique ont su incarner cette dynamique de croissance exceptionnelle de notre économie. Loin d’être un lot de consolation ces bonnes performances sur le terrain de l’économie et les finances participent d’un culte du travail et de l’abnégation qui dans le domaine sportif ou ailleurs constituent le vivier des champions
Comme quoi, un lion peut en cacher un autre sur la scène continentale ou mondiale. « Alors Sénégal ca Kanam » !
Ahmed Youssouph BENGELLOUNE
Président Kaolack Nouvelle Vision
(KNV)