Début octobre, la police de Los Angeles a décidé d’ouvrir de nouveau l’enquête. Kathryn Mayorga, une Américaine de 34 ans, accuse Cristiano Ronaldo de l’avoir violée dans sa chambre d’hôtel en 2009. Cette fois, les enquêteurs réclament un échantillon d’ADN de la star de foot portugaise.
Une « médiation privée » avait été organisée à l’époque mais Kathryn Mayorga veut aujourd’hui « obtenir justice ». Le dossier a donc été rouvert cet automne et jeudi, le « Wall Street Journal » a révélé que la police de Las Vegas avait transmis aux autorités judiciaires italiennes une requête.
L’idée ? Obtenir un échantillon d’ADN de Cristiano Ronaldo. Une procédure « des plus classiques », affirme l’avocat de la star, Me Peter S. Christiansen, comme le confirme « Le Monde » ce vendredi. « M. Ronaldo a toujours maintenu, c’est encore le cas aujourd’hui, que ce qui s’est passé à Las Vegas en 2009 était de nature consensuelle. Il n’est donc pas surprenant que de l’ADN soit présent, ni que la police fasse cette demande des plus classiques dans le cadre de son enquête », a-t-il écrit dans un communiqué envoyé à l’AFP.
Une « médiation privée » avait été organisée à l’époque mais Kathryn Mayorga veut aujourd’hui « obtenir justice ». Le dossier a donc été rouvert cet automne et jeudi, le « Wall Street Journal » a révélé que la police de Las Vegas avait transmis aux autorités judiciaires italiennes une requête.
L’idée ? Obtenir un échantillon d’ADN de Cristiano Ronaldo. Une procédure « des plus classiques », affirme l’avocat de la star, Me Peter S. Christiansen, comme le confirme « Le Monde » ce vendredi. « M. Ronaldo a toujours maintenu, c’est encore le cas aujourd’hui, que ce qui s’est passé à Las Vegas en 2009 était de nature consensuelle. Il n’est donc pas surprenant que de l’ADN soit présent, ni que la police fasse cette demande des plus classiques dans le cadre de son enquête », a-t-il écrit dans un communiqué envoyé à l’AFP.