La calomnie, Monsieur ? Vous ne savez guère ce que vous dédaignez; j'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés... elle s'élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au Ciel, un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription. Qui diable y résisterait ?" Beaumarchais
Je n'ai aucune leçon de déontologie à donner à qui que ce soit, mais il me semble que quand un "journaliste", aux dépens de l'honnêteté qu'il doit à ses lecteurs, sanctifie la rumeur et prend ses désirs pour des réalités, il doit citer clairement les noms et invoquer ses "sources en béton". En vérité, le « journaliste» n'imagine pas que M.N ou N.N portera plainte contre lui c’est pour cela il s'est senti libre d'écrire ce qui lui passait par la tête ou par l'oreille.
« Un ministre d’Etat de Macky se bagarre à cause d’un mannequin » www.dakaractu.com.
Mensonge, sottise et mauvaise foi : en attaquant le site pour "faux et usage de faux", M.N ne s'en prendra pas à la liberté de la presse (qu'il a toujours ardemment défendue), mais au droit de dire et d'écrire n'importe quoi. De ce point de vue, loin de se conduire en despote, c'est la liberté de chacun qu'il protègera.
Car si, désormais, la rumeur sert d'information, si les fantasmes servent de scoops, où allons-nous ? Si les grands journaux cessent de faire le tri entre les ragots et les faits, qui le fera ? Si, tel le meilleur des sites, trahissant sa charte, sa vocation et même son nom, n'observe plus mais invente ce qu'il raconte, quel rempart nous reste-t-il contre l'hystérie de l'époque ? Est-ce l'avenir des contre-pouvoirs que de cracher en l'air avant d'être rappelés à l'exigence élémentaire de probité ? La liberté exige d'avoir le sens des responsabilités, tout comme la transparence exige l'honnêteté, sans quoi, comme le dit Gad Elmaleh (dans La vérité si je mens) : "C'est la porte ouverte à toutes les fenêtres" !
Patrice SANE,
Militant APR, Membre de la CCR
Secrétaire Adm de la Com Veille & Marketing Politique
Je n'ai aucune leçon de déontologie à donner à qui que ce soit, mais il me semble que quand un "journaliste", aux dépens de l'honnêteté qu'il doit à ses lecteurs, sanctifie la rumeur et prend ses désirs pour des réalités, il doit citer clairement les noms et invoquer ses "sources en béton". En vérité, le « journaliste» n'imagine pas que M.N ou N.N portera plainte contre lui c’est pour cela il s'est senti libre d'écrire ce qui lui passait par la tête ou par l'oreille.
« Un ministre d’Etat de Macky se bagarre à cause d’un mannequin » www.dakaractu.com.
Mensonge, sottise et mauvaise foi : en attaquant le site pour "faux et usage de faux", M.N ne s'en prendra pas à la liberté de la presse (qu'il a toujours ardemment défendue), mais au droit de dire et d'écrire n'importe quoi. De ce point de vue, loin de se conduire en despote, c'est la liberté de chacun qu'il protègera.
Car si, désormais, la rumeur sert d'information, si les fantasmes servent de scoops, où allons-nous ? Si les grands journaux cessent de faire le tri entre les ragots et les faits, qui le fera ? Si, tel le meilleur des sites, trahissant sa charte, sa vocation et même son nom, n'observe plus mais invente ce qu'il raconte, quel rempart nous reste-t-il contre l'hystérie de l'époque ? Est-ce l'avenir des contre-pouvoirs que de cracher en l'air avant d'être rappelés à l'exigence élémentaire de probité ? La liberté exige d'avoir le sens des responsabilités, tout comme la transparence exige l'honnêteté, sans quoi, comme le dit Gad Elmaleh (dans La vérité si je mens) : "C'est la porte ouverte à toutes les fenêtres" !
Patrice SANE,
Militant APR, Membre de la CCR
Secrétaire Adm de la Com Veille & Marketing Politique