Tous les hommes naissent libres et égaux devant la loi,’’ cette principe de la déclaration universelle des droits de l’homme est loin d’être une réalité sur notre planète.
Ainsi s’alarme le CREDHO, sur un tel fait.
Mis sur les fonds baptismaux il y’a seulement quelque mois au Sénégal par un groupe de 15 pays africain, le CREDHO s’engage à garantir le respect fondamental des droits humains.
Aujourd’hui le quotidien des sénégalais, de quelques bords qu’ils soient, dans toutes les parties prenantes de la société est ponctué par une forte violation de leur droit; Ainsi au moment ou ce plaitor d’organismes de défense de droits humains peine à arriver au satisfaitie de sa mission principale, le Club de Recherches et d’Etudes sur les Droits Humains ,CREDHO prend le contre pieds :pas question de manifestations, ni de contestations , encore moins de prise de position affirme son président Cheikh Ba, magistrat à la cour , mais plutôt , planque t-il :’’d’éducation , de sensibilisation ,de formation , contrée piédestale d’un véritable Etat de droit a-t-il lâché.
Cela pour soutenir le principe fondamental de sacralité du caractère du droit, a-t-il ajouté
Dans sa mission de promotion et de vulgarisation des droits de l’homme, le CREDHO, compte fouiller dans tous les dossiers pour illuminer les parties d’ombre afin que triomphe le flambeau du droit, ainsi face à l’actualité brulante de la traque des biens mal acquis ,de l’enrichissement illicite et de la cour de répression au Sénégal ,il compte dire scientifiquement et académique son mot a temps venu a annoncé son président Cheikh BA .
Amina Bayo