Afin de redonner un nouveau souffle au Pds, Aïda Mbodj a, au nom son parti, accepté la dissolution du mouvement And ndioukal Diourbel dans la formation libérale. Séance tenante, elle a fait intégrer le désormais ex-président de ce mouvement dans le Comité directeur de son parti.
Aïda Mbodj… marraine de nouvelles recrues pour le Parti démocratique sénégalais (Pds) dont la splendeur d’antan contraste avec la débandade actuelle dans le Baol. Hier, la députée libérale a accueilli dans son parti Mama Amar, président du mouvement And ndioukal Diourbel, qui a préféré fondre sa structure au sein du Pds qui a tant besoin de nouveaux renforts. Aujourd’hui, la léthargie annoncerait pourtant une débandade de certains caciques du parti. Khadim Guèye, Sidy Badiane, président de la Fédération, Abdourahmane Bocoum et Malick Fall s’emmurent dans un silence suspect et laissent poindre des interrogations sur leurs véritables intentions.
Malgré cette situation inconfortable dans laquelle baigne le Pds, il a préféré la voie la plus difficile pour s’engager en politique. Aïda Mbodj, maire de Bambey, magnifie le coup politique réussi par sa formation dans ce contexte où le parti présidentiel attire tous les opportunistes politiques. Elle mesure d’ailleurs la portée de cette décision : «Je pense que le Pds a revécu à Diourbel. C’est un bonheur pour notre parti qui est en zone de turbulences à Diourbel. Parce qu’on l’a remarqué, les responsables ne sont plus visibles. L’un d’eux a eu des problèmes d’ordre juridique. Nous sommes en train de réorganiser le parti à Diourbel et voilà que Mama Amar a eu l’ingénieuse idée de dissoudre son mouvement dans le Pds.» En plus de la dissolution de son mouvement dans le Pds, Mama Amar intègre le saint des saints. Depuis dimanche, il est devenu membre du Comité directeur de ce parti. L’annonce lui a été faite par Aïda Mbodj qui lui a demandé d’élargir les bases et de réorganiser le Pds.
En contre partie, la mairesse de Bambey lui a promis «un appui et un accompagnement dans toutes ses actions». A sa suite, le néolibéral lie son choix d’intégrer la formation libérale à un défi personnel. «Nous sommes des hommes et des femmes de défis. Nous sommes prêts à relever le défi parce que nous avons vu qu’il y a eu à Diourbel des responsables qui ont été choisis durant les moments de gloire du Pds pour porter le parti. Pourtant, depuis la défaite, il n’y a eu aucun responsable qui a pris son courage à deux mains pour se présenter aux populations et leur expliquer les raisons de la défaite. Nous nous sommes rendu compte que Diourbel a un destin à parfaire et nous avons choisi le Pds. Et dans ces moments difficiles, le Pds qui est un parti de masse pouvait être compris par les populations, les ouvriers, les paysans, les pêcheurs. C’est pour cela que nous avons décidé à l’unanimité de rejoindre cette formation politique pour pouvoir atteindre les couches les plus reculées des populations du Sénégal», argumente-t-il.
Interpellé sur sa probable candidature à la tête de la municipalité, Mama Amar répond : «Il s’agira de relever tout d’abord ce défi. Nous chercherons à recueillir les voix et à avoir le maximum de conseillers possibles. Une fois cela acquis, nous verrons avec ceux qui auront en charge de choisir le maire. Si le choix se porte sur nous, nous ne le refuserons pas.»
Aïda Mbodj… marraine de nouvelles recrues pour le Parti démocratique sénégalais (Pds) dont la splendeur d’antan contraste avec la débandade actuelle dans le Baol. Hier, la députée libérale a accueilli dans son parti Mama Amar, président du mouvement And ndioukal Diourbel, qui a préféré fondre sa structure au sein du Pds qui a tant besoin de nouveaux renforts. Aujourd’hui, la léthargie annoncerait pourtant une débandade de certains caciques du parti. Khadim Guèye, Sidy Badiane, président de la Fédération, Abdourahmane Bocoum et Malick Fall s’emmurent dans un silence suspect et laissent poindre des interrogations sur leurs véritables intentions.
Malgré cette situation inconfortable dans laquelle baigne le Pds, il a préféré la voie la plus difficile pour s’engager en politique. Aïda Mbodj, maire de Bambey, magnifie le coup politique réussi par sa formation dans ce contexte où le parti présidentiel attire tous les opportunistes politiques. Elle mesure d’ailleurs la portée de cette décision : «Je pense que le Pds a revécu à Diourbel. C’est un bonheur pour notre parti qui est en zone de turbulences à Diourbel. Parce qu’on l’a remarqué, les responsables ne sont plus visibles. L’un d’eux a eu des problèmes d’ordre juridique. Nous sommes en train de réorganiser le parti à Diourbel et voilà que Mama Amar a eu l’ingénieuse idée de dissoudre son mouvement dans le Pds.» En plus de la dissolution de son mouvement dans le Pds, Mama Amar intègre le saint des saints. Depuis dimanche, il est devenu membre du Comité directeur de ce parti. L’annonce lui a été faite par Aïda Mbodj qui lui a demandé d’élargir les bases et de réorganiser le Pds.
En contre partie, la mairesse de Bambey lui a promis «un appui et un accompagnement dans toutes ses actions». A sa suite, le néolibéral lie son choix d’intégrer la formation libérale à un défi personnel. «Nous sommes des hommes et des femmes de défis. Nous sommes prêts à relever le défi parce que nous avons vu qu’il y a eu à Diourbel des responsables qui ont été choisis durant les moments de gloire du Pds pour porter le parti. Pourtant, depuis la défaite, il n’y a eu aucun responsable qui a pris son courage à deux mains pour se présenter aux populations et leur expliquer les raisons de la défaite. Nous nous sommes rendu compte que Diourbel a un destin à parfaire et nous avons choisi le Pds. Et dans ces moments difficiles, le Pds qui est un parti de masse pouvait être compris par les populations, les ouvriers, les paysans, les pêcheurs. C’est pour cela que nous avons décidé à l’unanimité de rejoindre cette formation politique pour pouvoir atteindre les couches les plus reculées des populations du Sénégal», argumente-t-il.
Interpellé sur sa probable candidature à la tête de la municipalité, Mama Amar répond : «Il s’agira de relever tout d’abord ce défi. Nous chercherons à recueillir les voix et à avoir le maximum de conseillers possibles. Une fois cela acquis, nous verrons avec ceux qui auront en charge de choisir le maire. Si le choix se porte sur nous, nous ne le refuserons pas.»
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