Selon nos sources , le drame s'est produit hier aux environs de 17 heures où les gardes côtes Bissau guinéens ont arraisonné cette pirogue des pêcheurs en provenance du quai de pêche du Cap Skirring. Il s'est est suivi une vive altercation entre le capitaine et ces derniers, car estime t-ll qu'il n'a pas pénétré les eaux Bissau guinéennes.
Sur ces entrefaites, un de ces gardes perd le contrôle de ses nerfs, brandit son arme et dégaine sur le capitaine en endommageant carrément sa cheville gauche. Après ce forfait, ils l'ont évacue dans une de leurs localités, Valera. Une fois sur place faute de soins appropriés en raison de la carence de son poste de santé, ils retroussent chemin pour le conduire au village frontalier du Sénégal, Boudidiette situé à l'embouchure pour le déposer là et informer les autorités sénégalaises locales. Celles- ci dépêchées sur les lieux n'ont que leurs yeux pour constater l'horreur. La victime fût dare-dare conduite au poste de santé de Cabrousse et de là, les sapeurs-pompiers sont venus à son secours pour l'évacuer au district sanitaire d'Oussouye.
Un terrible drame qui selon des témoignages concordants n'est pas un cas isolé, mais récurrent aux mois de décembre où ces gardes côtes s'illustrent dans des forfaits et abus aux fins de se garnir les poches pour les fêtes de fin d'année.
André Mendy
Sur ces entrefaites, un de ces gardes perd le contrôle de ses nerfs, brandit son arme et dégaine sur le capitaine en endommageant carrément sa cheville gauche. Après ce forfait, ils l'ont évacue dans une de leurs localités, Valera. Une fois sur place faute de soins appropriés en raison de la carence de son poste de santé, ils retroussent chemin pour le conduire au village frontalier du Sénégal, Boudidiette situé à l'embouchure pour le déposer là et informer les autorités sénégalaises locales. Celles- ci dépêchées sur les lieux n'ont que leurs yeux pour constater l'horreur. La victime fût dare-dare conduite au poste de santé de Cabrousse et de là, les sapeurs-pompiers sont venus à son secours pour l'évacuer au district sanitaire d'Oussouye.
Un terrible drame qui selon des témoignages concordants n'est pas un cas isolé, mais récurrent aux mois de décembre où ces gardes côtes s'illustrent dans des forfaits et abus aux fins de se garnir les poches pour les fêtes de fin d'année.
André Mendy