Le commissaire de police divisionnaire de classe exceptionnelle, Matar Diop, coordonnateur national du Comité interministériel de lutte contre la drogue (CILD), a plaidé hier pour que la Société civile s’implique davantage et très activement dans la lutte contre les drogues et leurs dérivés.
« Il faut qu’elle s’implique activement dans la sensibilisation contre l’utilisation des drogues », a-t-il fait savoir.
Le commissaire Matar Diop présidait, l’atelier de partage avec les autorités institutionnelles dans le cadre de la campagne mondiale « Support. Don’t punish », en Français « Soutenez. Ne punissez pas ». Il a pour objectif de partager avec les autorités institutionnelles afin qu’elles puissent s’engager et plaider en faveur des questions concernant les politiques de drogue, la prévention, le traitement, la réduction des risques et le respect des droits humains. « Mais, il permet aussi de renforcer les connaissances desdites autorités pour une meilleure politique de lutte contre les drogues, tout en plaidant en faveur des services efficaces en se basant sur les preuves du succès. 25 autorités institutionnelles venues des différents ministères et institutions impliqués dans la lutte contre la drogue ont pris part à cette rencontre. Comme les questions de drogues sont un peu taboues au Sénégal, ce dernier de faire comprendre qu’il est temps de ménager toutes les pesanteurs socio culturelles afin de pérenniser cette lutte. « Il faut installer dans l’imaginaire de la population générale des changements de paradigmes, parce qu’il est temps de faire comprendre qu’aujourd’hui l’ère de l’élaboration de politiques de prévention et de lutte contre les drogues basées sur des preuves factuelles », a dit le commissaire divisionnaire, tout en précisant : « il est temps de mettre en place des directions qui permettent de prendre en charge uniquement les consommateurs de drogues surtout ceux injectables dans un pays où le taux de prévalence est de 0,7 % ». Selon lui toujours ce Plan stratégique de lutte contre les drogues permettra de rabaisser de manière significative le taux de prévalence d’utilisateurs de drogues par voie injectable qui est de 9,4 %. Comme la drogue reste toujours un produit nocif, il a lancé un appel aux autorités étatiques de tout faire pour qu’elle ne soit pas à la portée des populations en mettant en place des garde-fous.
« Il faut qu’elle s’implique activement dans la sensibilisation contre l’utilisation des drogues », a-t-il fait savoir.
Le commissaire Matar Diop présidait, l’atelier de partage avec les autorités institutionnelles dans le cadre de la campagne mondiale « Support. Don’t punish », en Français « Soutenez. Ne punissez pas ». Il a pour objectif de partager avec les autorités institutionnelles afin qu’elles puissent s’engager et plaider en faveur des questions concernant les politiques de drogue, la prévention, le traitement, la réduction des risques et le respect des droits humains. « Mais, il permet aussi de renforcer les connaissances desdites autorités pour une meilleure politique de lutte contre les drogues, tout en plaidant en faveur des services efficaces en se basant sur les preuves du succès. 25 autorités institutionnelles venues des différents ministères et institutions impliqués dans la lutte contre la drogue ont pris part à cette rencontre. Comme les questions de drogues sont un peu taboues au Sénégal, ce dernier de faire comprendre qu’il est temps de ménager toutes les pesanteurs socio culturelles afin de pérenniser cette lutte. « Il faut installer dans l’imaginaire de la population générale des changements de paradigmes, parce qu’il est temps de faire comprendre qu’aujourd’hui l’ère de l’élaboration de politiques de prévention et de lutte contre les drogues basées sur des preuves factuelles », a dit le commissaire divisionnaire, tout en précisant : « il est temps de mettre en place des directions qui permettent de prendre en charge uniquement les consommateurs de drogues surtout ceux injectables dans un pays où le taux de prévalence est de 0,7 % ». Selon lui toujours ce Plan stratégique de lutte contre les drogues permettra de rabaisser de manière significative le taux de prévalence d’utilisateurs de drogues par voie injectable qui est de 9,4 %. Comme la drogue reste toujours un produit nocif, il a lancé un appel aux autorités étatiques de tout faire pour qu’elle ne soit pas à la portée des populations en mettant en place des garde-fous.