Les faits supposés ont été relevés par les juges d'instruction en charge de cette affaire de proxénétisme aggravé et auraient été commis lors d'une soirée dans la capitale américaine, à laquelle participait notamment Dominique Strauss-Kahn.
Le parquet indique avoir ordonné une enquête, "conformément à l'usage", qu'il a confiée à la direction interrégionale de la police judiciaire de Lille.
"Je ne connais pas l'usage consistant à ouvrir des enquêtes préliminaires pour viol en réunion, alors que la personne concernée, qui a été longuement entendue, n'a pas déposé plainte pour viol", a réagi l'un des avocats de Dominique Strauss-Kahn, Me Richard Malka. Selon lui, "ça démontre un acharnement invraisemblable" contre son client.
Le parquet avait été saisi le 28 mars - soit deux jours après la mise en examen de Dominique Strauss-Kahn pour "proxénétisme aggravé en bande organisée - par les juges d'instruction, "d'une ordonnance de soit-communiqué à toutes fins utiles, pour des faits de viol en réunion".
Ces faits sont relatifs aux témoignages de deux prostituées belges ayant participé à un séjour à Washington en décembre 2010 en compagnie de Dominique Strauss-Kahn, Fabrice Paszkowski, David Roquet, et du commissaire Lagarde. Ces témoignages avaient été recueillis par les policiers belges en décembre dernier, dans le cadre d'un accord avec la justice française.
L'une d'entre elles - qui n'a toutefois pas porté plainte - indique y avoir subi lors d'une soirée, le 16 décembre 2010, certains actes sexuels de manière non consentie. "Je n'ai pas hurlé mais j'ai clairement dit à haute voix que je ne voulais pas", avait déclaré sur PV la jeune femme.
L'autre escort-girl belge, présente dans la même chambre et qui était interrogée par le quotidien Le Parisien le 13 mai, a déclaré de son côté que si sa collègue "avait vraiment et clairement dit non", elle serait "intervenue, bien sûr".
Le parquet indique avoir ordonné une enquête, "conformément à l'usage", qu'il a confiée à la direction interrégionale de la police judiciaire de Lille.
"Je ne connais pas l'usage consistant à ouvrir des enquêtes préliminaires pour viol en réunion, alors que la personne concernée, qui a été longuement entendue, n'a pas déposé plainte pour viol", a réagi l'un des avocats de Dominique Strauss-Kahn, Me Richard Malka. Selon lui, "ça démontre un acharnement invraisemblable" contre son client.
Le parquet avait été saisi le 28 mars - soit deux jours après la mise en examen de Dominique Strauss-Kahn pour "proxénétisme aggravé en bande organisée - par les juges d'instruction, "d'une ordonnance de soit-communiqué à toutes fins utiles, pour des faits de viol en réunion".
Ces faits sont relatifs aux témoignages de deux prostituées belges ayant participé à un séjour à Washington en décembre 2010 en compagnie de Dominique Strauss-Kahn, Fabrice Paszkowski, David Roquet, et du commissaire Lagarde. Ces témoignages avaient été recueillis par les policiers belges en décembre dernier, dans le cadre d'un accord avec la justice française.
L'une d'entre elles - qui n'a toutefois pas porté plainte - indique y avoir subi lors d'une soirée, le 16 décembre 2010, certains actes sexuels de manière non consentie. "Je n'ai pas hurlé mais j'ai clairement dit à haute voix que je ne voulais pas", avait déclaré sur PV la jeune femme.
L'autre escort-girl belge, présente dans la même chambre et qui était interrogée par le quotidien Le Parisien le 13 mai, a déclaré de son côté que si sa collègue "avait vraiment et clairement dit non", elle serait "intervenue, bien sûr".