les femmes rurales de Bokhole, dans le département de Dagana, veulent des matériels de séchage pour sauver et donner de la valeur à leurs productions. La tomate pourrit entre leurs mains. Une indignation qu’elles ont montrée au directeur de l’Agence de Régulation des Marchés (ARM) en visite dans localité. "Nous voulons des machines de séchage de tomates à l’instar des magasins d’oignons. Une grande quantité de nos produits pourrissent à cause d’un problème d’écoulement et de séchage», explique Amy Sarr, la trésorière du Groupement d’Intérêt Economique (GIE) sur les ondes de la Rfm où ces femmes qui exploitent d’importantes surfaces pour la production de tomates, montrent leur besoin criard de stocker leur productions avant la commercialisation