Des rumeurs ont été savamment distillées par des personnes malintentionnées. Elles cherchent, manifestement, à jeter le discrédit sur ma modeste personne. Ces rumeurs ignobles font état du fait que j’aurai été surpris, fumant du chanvre indien à Fatick, et maîtrisé ; que je n’aurais été relâché que sur intervention des témoins.
Certains de mes interlocuteurs ont avancé le nom d’un hôtel sis à Fatick comme étant le lieu où ce délit aurait été commis. D’autres me disent qu’ils n’ont pas l’information sur le lieu mais que ce serait à Fatick. La plupart affirment ne pas savoir le moment pendant lequel les événements relatés plus haut se seraient déroulés.
Moi je sais ; je sais et Le Bon Dieu Sait ; et ceux qui ont distillé ces fausses informations savent : rien de tout cela ne s’est pas passé ; il s’agit là de pures allégations.
Plusieurs journalistes m’ont contacté pour recouper l’information. A tous, j’ai dit ce qui suit : C’est totalement faux ; je n’ai jamais fumé du chanvre indien ni ici, ni ailleurs ; ni aujourd’hui, ni hier. Que c’est donc totalement faux. Que je suis disposé, si l’heure et le lieu du délit supposésont communiqués, à démontrer l’impossibilité de telles suppositions, en apportant les preuves et témoignages crédibles qui enlèveraient tout doute que pareilles allégations savent si bien entretenir.
J’ai, pour plus de transparence, mis à la disposition de tous mes interlocuteurs le numéro de téléphone du gestionnaire de l’Hôtel évoqué pour vérification.
C’est l’occasion, pour moi, de saluer le professionnalisme de mes interlocuteurs journalistes qui ont tenu à recouper l’information à mon niveau et qui n’ont pas jugé nécessaire de l’évoquer en l’absence de tout élément probant.
Que la presse en soit remerciée. Elle démontre, par là, sa rigueur, son professionnalisme sa déontologie et sa responsabilité.
N’empêche, afin que toute la lumière soit faite et que mon honorabilité soit préservée, que mes enfants ne puissent pas être regardés avec suspicion et doute ; que ma mère, d’un certain âge, ne soit pas obligée de détourner le regard jusque chez elle ; que mon employeur ne puisse souffrir d’une quelconque remarque désobligeante consécutive à ces rumeurs ; que mon épouse, jamais ne verse une larme en se mirant dans mes yeux ;
J’ai décidé de porter plainte contre X. Pour que les personnes encagoulées qui se cachent si courageusement derrière ces rumeurs puissent répondre devant la justice, égale et la même pour tous.
Pour le mal qui est déjà fait, je m’en réfère à Allah auprès de qui je formule la même demande que celle énoncée par ISSA – PSL : « Seigneur, pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font ».
Mamadou Thiam – consultant en communicationmamadouthiam@hotmail.com
Certains de mes interlocuteurs ont avancé le nom d’un hôtel sis à Fatick comme étant le lieu où ce délit aurait été commis. D’autres me disent qu’ils n’ont pas l’information sur le lieu mais que ce serait à Fatick. La plupart affirment ne pas savoir le moment pendant lequel les événements relatés plus haut se seraient déroulés.
Moi je sais ; je sais et Le Bon Dieu Sait ; et ceux qui ont distillé ces fausses informations savent : rien de tout cela ne s’est pas passé ; il s’agit là de pures allégations.
Plusieurs journalistes m’ont contacté pour recouper l’information. A tous, j’ai dit ce qui suit : C’est totalement faux ; je n’ai jamais fumé du chanvre indien ni ici, ni ailleurs ; ni aujourd’hui, ni hier. Que c’est donc totalement faux. Que je suis disposé, si l’heure et le lieu du délit supposésont communiqués, à démontrer l’impossibilité de telles suppositions, en apportant les preuves et témoignages crédibles qui enlèveraient tout doute que pareilles allégations savent si bien entretenir.
J’ai, pour plus de transparence, mis à la disposition de tous mes interlocuteurs le numéro de téléphone du gestionnaire de l’Hôtel évoqué pour vérification.
C’est l’occasion, pour moi, de saluer le professionnalisme de mes interlocuteurs journalistes qui ont tenu à recouper l’information à mon niveau et qui n’ont pas jugé nécessaire de l’évoquer en l’absence de tout élément probant.
Que la presse en soit remerciée. Elle démontre, par là, sa rigueur, son professionnalisme sa déontologie et sa responsabilité.
N’empêche, afin que toute la lumière soit faite et que mon honorabilité soit préservée, que mes enfants ne puissent pas être regardés avec suspicion et doute ; que ma mère, d’un certain âge, ne soit pas obligée de détourner le regard jusque chez elle ; que mon employeur ne puisse souffrir d’une quelconque remarque désobligeante consécutive à ces rumeurs ; que mon épouse, jamais ne verse une larme en se mirant dans mes yeux ;
J’ai décidé de porter plainte contre X. Pour que les personnes encagoulées qui se cachent si courageusement derrière ces rumeurs puissent répondre devant la justice, égale et la même pour tous.
Pour le mal qui est déjà fait, je m’en réfère à Allah auprès de qui je formule la même demande que celle énoncée par ISSA – PSL : « Seigneur, pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font ».
Mamadou Thiam – consultant en communicationmamadouthiam@hotmail.com