Selon Libération qui fait la révélation dans son édition du jour, tout a commencé à Washington. En effet, deux passagers ont débarqué d’un vol de South Africa Airlines mais ne disposant d’aucun papier, ils ne tarderont pas être arrêtés par les services de sécurité américains. Après quoi, ils interpellent South Africa Airlines qui à son tour, renseigne Libération épluché par Setal.net s’en remet au commissariat de l’Aéroport Léopold Sédar Senghor. L’enquête ouverte à cet effet permet aux policiers de mettre la main sur le superviseur de la compagnie aérienne et deux de ses complices qui travaillent à la société d’assistance au sol des avions, Sénégal Handling Service (Shs).
Le modus operandi
Alors que d’autres arrestations sont en vue, le réseau ayant déjà fait ses preuves dans beaucoup pays d’Afrique comme la Cote d’Ivoire, l’enquête a révélé que le superviseur de la compagnie aérienne South Africa Airlines procédait ainsi : il faisait embarquer le passager avant la fermeture de l’avion. Pour ce service, il percevait 900 000 et remettait 300 000 à chacun de ses assistants, à savoir les deux agents de Shs.
Le modus operandi
Alors que d’autres arrestations sont en vue, le réseau ayant déjà fait ses preuves dans beaucoup pays d’Afrique comme la Cote d’Ivoire, l’enquête a révélé que le superviseur de la compagnie aérienne South Africa Airlines procédait ainsi : il faisait embarquer le passager avant la fermeture de l’avion. Pour ce service, il percevait 900 000 et remettait 300 000 à chacun de ses assistants, à savoir les deux agents de Shs.