Inquiétude de la société civile dans la zone en conflit du Sud du Sénégal. Elle compte battre le macadam ce samedi matin. « L’objectif de cette marche est de dénoncer le départ des bailleurs de fonds qui financent le déminage en Casamance. Depuis plus de dix (10) mois, le déminage humanitaire ne se déroule plus. A ce rythme, ils ont dit qu’ils ne peuvent plus rester à ne rien faire. Par conséquent, ils ont plié bagages. Cela est valable pour l’UE, la coopération allemande mais aussi la Norvège », dénonce le coordonnateur du comité d’initiative pour le déminage de la Casamance.
Selon, Eusébio José Dasylva, l’Etat du Sénégal a tergiversé au moins de « décourager les bailleurs de fonds. Ce qui a abouti à la prise de cette mauvaise décision que tout le monde redoute. A cet effet, à travers la marche, la société civile, souligne le journal "l'as", entend sensibiliser l’opinion nationale et internationale sur ce fait, dit-elle, « qui pourrait nuire à la population qui est toujours victime des mines antipersonnel ».
La question du déminage en cause dans la dite zone depuis l'enlèvement des 12 employés de la société sud-africaine Mechem par l'une des branches armées du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC), l'Etat et le chef rebelle César Atoute Badiate s'étaient retrouvés autour d'une table pour des négociations. Les accords issus desdites rencontres peinent toujours à être exécutés.
Selon, Eusébio José Dasylva, l’Etat du Sénégal a tergiversé au moins de « décourager les bailleurs de fonds. Ce qui a abouti à la prise de cette mauvaise décision que tout le monde redoute. A cet effet, à travers la marche, la société civile, souligne le journal "l'as", entend sensibiliser l’opinion nationale et internationale sur ce fait, dit-elle, « qui pourrait nuire à la population qui est toujours victime des mines antipersonnel ».
La question du déminage en cause dans la dite zone depuis l'enlèvement des 12 employés de la société sud-africaine Mechem par l'une des branches armées du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC), l'Etat et le chef rebelle César Atoute Badiate s'étaient retrouvés autour d'une table pour des négociations. Les accords issus desdites rencontres peinent toujours à être exécutés.