Huit maisons dont certaines en finition et d’autres dont la construction venait à peine de commencer ont été démolies, mardi soir. Ces habitations sont situées juste derrière le cimetière municipal de Pikine, à quelques mètres de la marre du Technopole.
‘’Nous voulons savoir les raisons de cette mesure. La vie est très dure, et ceux qui ont détruit nos maisons ne savent pas comment, combien nous nous sommes investis pour gagner notre argent et acheter ces parcelles. Et voilà sans nous avertir, un bulldozer vient comme ça démolir nos maisons. C’est choquant !’’, s’est écrié Pape Ndiaye, une des victimes.
‘’On veut nous faire quitter cet espace pour ensuite bien l’aménager et le revendre plus cher. C’est une pratique très fréquente ici au Technopole. On doit forcément nous indemniser’’, a ajouté M. Ndiaye, qui s’occupe de la construction de la maison d’un proche établi à l’intérieur du pays.
Au moment où les propriétaires des maisons détruites réfléchissent sur une formule de riposte, des jeunes munis de marteaux, tentent de récupérer le fer utilisé dans la construction des bâtiments.
‘’Bon, on récupère le fer pour qu’il ne soit pas volé à notre absence, en attendant qu’on trouve une solution à cette mesure injuste’’, explique Cheikh Diouf, une des victimes dont le bâtiment était déjà prêt.
Il déclare avoir dépensé près de 9 millions de francs pour bâtir sa maison. Et regrette la méthode utilisée par les autorités pour détruire les bâtiments.
Source Aps.sn
‘’Nous voulons savoir les raisons de cette mesure. La vie est très dure, et ceux qui ont détruit nos maisons ne savent pas comment, combien nous nous sommes investis pour gagner notre argent et acheter ces parcelles. Et voilà sans nous avertir, un bulldozer vient comme ça démolir nos maisons. C’est choquant !’’, s’est écrié Pape Ndiaye, une des victimes.
‘’On veut nous faire quitter cet espace pour ensuite bien l’aménager et le revendre plus cher. C’est une pratique très fréquente ici au Technopole. On doit forcément nous indemniser’’, a ajouté M. Ndiaye, qui s’occupe de la construction de la maison d’un proche établi à l’intérieur du pays.
Au moment où les propriétaires des maisons détruites réfléchissent sur une formule de riposte, des jeunes munis de marteaux, tentent de récupérer le fer utilisé dans la construction des bâtiments.
‘’Bon, on récupère le fer pour qu’il ne soit pas volé à notre absence, en attendant qu’on trouve une solution à cette mesure injuste’’, explique Cheikh Diouf, une des victimes dont le bâtiment était déjà prêt.
Il déclare avoir dépensé près de 9 millions de francs pour bâtir sa maison. Et regrette la méthode utilisée par les autorités pour détruire les bâtiments.
Source Aps.sn