Des sénégalais ont-il fait acte d’allégeance aux loges maçonniques ? La réponse est oui. Ce qui n’était pas un secret de polichinelle, c’est la question à savoir s’ils sont vraiment en activité ? Au regard de l’enquête du dernier numéro de Jeune Afrique, on est tenté de répondre par l’affirmative. L’Hebdomadaire nous apprend que des sénégalais ont participé à une rencontre maçonnique qui s’est tenue au pays de Joseph Kabila courant février dernier.
En effet, il s’agit des Rencontres humanistes et fraternelles africaines et malgaches (Rehfram) qui se sont tenues à la capitale congolaise du 6 au 9 février derniers. Selon Jeune Afrique lu par Setal.net, l’événement a mobilisé plus de 400 franc-maçonnes venus seuls ou avec la quinzaine de délégations d’obédiences membres ou amis de la Conférence des puissances maçonniques africaines et malgaches (CPMAM). Et parmi les mâcons venus d’Afrique francophone, ceux du tout proche Congo-Brazzaville, issue notamment du Grand Orient du Congo-Brazzaville et de la Grande Loge de France étaient plus nombreux. Ils étaient suivis des Gabonais (Grande loge symbolique du Gabon), et des camerounais (Grande loge unie du Cameroun). Puis des sénégalais, des ivoiriens, des béninois, des Togolais et des marocains. Comme vous avez pu le constater, il a été mentionné que des sénégalais se sont rendus à la RD Congo rien que pour participer à cette rencontre qui tournait autour de l’autonomisation de la maçonnerie africaine.
En effet, il s’agit des Rencontres humanistes et fraternelles africaines et malgaches (Rehfram) qui se sont tenues à la capitale congolaise du 6 au 9 février derniers. Selon Jeune Afrique lu par Setal.net, l’événement a mobilisé plus de 400 franc-maçonnes venus seuls ou avec la quinzaine de délégations d’obédiences membres ou amis de la Conférence des puissances maçonniques africaines et malgaches (CPMAM). Et parmi les mâcons venus d’Afrique francophone, ceux du tout proche Congo-Brazzaville, issue notamment du Grand Orient du Congo-Brazzaville et de la Grande Loge de France étaient plus nombreux. Ils étaient suivis des Gabonais (Grande loge symbolique du Gabon), et des camerounais (Grande loge unie du Cameroun). Puis des sénégalais, des ivoiriens, des béninois, des Togolais et des marocains. Comme vous avez pu le constater, il a été mentionné que des sénégalais se sont rendus à la RD Congo rien que pour participer à cette rencontre qui tournait autour de l’autonomisation de la maçonnerie africaine.