SETAL.NET - Ce n’est pas encore à l’état de tempête, mais il existe des frictions entre le Sénégal et le Mali. C’est d’ailleurs ce qui expliquerait, selon la RFM, l’annulation au dernier moment de la venue d’Ibrahim Boubacar Keita à Dakar la semaine dernière.
À l’origine de ce début de tensions diplomatiques entre ces deux pays frontaliers, le cas Amadou Toumany Touré. En effet, au fort de la crise malienne en avril 2012, le Sénégal a non seulement envoyé à Bamako des éléments du Groupement d’intervention de la Gendarmerie nationale (GIGN) connu pour être un corps d’élite aux fins d’exfiltrer l’ancien président malien qui venait d’être déposé par le Capitaine Amadou Aya Sanogo, mais lui a également offert une terre d’asile. Ce qui n’est pas du goût des autorités actuelles du Mali qui nourrissent plus que tout l’ambition de traduire ATT devant les tribunaux pour haute trahison.
Seulement, pour que son procès ait lieu, il faut qu’il soit d’abord extradé au Mali. Ce que, rassemblement le Sénégal n’est pas prêt à faire.
À l’origine de ce début de tensions diplomatiques entre ces deux pays frontaliers, le cas Amadou Toumany Touré. En effet, au fort de la crise malienne en avril 2012, le Sénégal a non seulement envoyé à Bamako des éléments du Groupement d’intervention de la Gendarmerie nationale (GIGN) connu pour être un corps d’élite aux fins d’exfiltrer l’ancien président malien qui venait d’être déposé par le Capitaine Amadou Aya Sanogo, mais lui a également offert une terre d’asile. Ce qui n’est pas du goût des autorités actuelles du Mali qui nourrissent plus que tout l’ambition de traduire ATT devant les tribunaux pour haute trahison.
Seulement, pour que son procès ait lieu, il faut qu’il soit d’abord extradé au Mali. Ce que, rassemblement le Sénégal n’est pas prêt à faire.
Reddition des comptes : « L’exécutif doit éviter les conflits d’intérêt… », (Alioune Tine)
