La presse ivoirienne notamment "Le Point" et "Les Nouvelles d'Abidjan" se sont interressés cette semaine à Karim Wade, le prisonnier le plus célèbre du Sénégal. Wade-fils emprisonné dans le cadre de la tracque des biens mal acquis, croupi depuis près d'une année à la Maisson d'Arrêt et de Correction de Dakar, communément appelé "Rebeuss". Les responsables de l'Organisation Internationale des droits de l'homme (OIDH) interrogés par ces deux journaux ivoiriens, exigent la libération "immèdite et sans condition" du fils de l'ancien Président sénéggalais.
Dans sa livraison du 24 avril dernier, c'est tout d'abord le quotidien ivoirien "Le Point" qui ouvre le bal en barrant à sa Une: "Libératiion de Karim/ la section de l'Organisation Internationale des Droits de l'Homme de Paris prépare une grande marche". Selon le Président de la section Europe de cette organisation internationale des droits de l'homme, Carlos Fardon, cité par ce journal, "la détention de Wade-fils est illégale".
C'est la raison pour laquelle, il a invité le pouvoir sénégalais " à tout mettre en oeuvre pour la libération "immédiate et sans condition" de Karim Wade.Très en verve, M. Farbon qui a dévoillé son plan d'action dans les colonnes du "Point", envisage d'organiser très prochainement une marche de protestation à Paris pour sensibiliser les autorités françaises sur le cas Karim qui defraie de plus en plus la chronique.
Lui embourchant la trompette, l'infatigable Al Moustapha Touré de l'OIDH de Côte-d'Ivoire, en croisade pour la libération de Karim Wade depuis plusieurs semaines, a clairement indiqué dans le journal "Les Nouvelles d'Abidjan" que l'emprisonnement de l'ancien ministre d'Etat rélève d'une "machination purement politicienne visant à éliminer un potentiel candidat à l'élection présidentielle de 2017". "Karim Wade est un otage politique", a-t-il martelé dans ce journal.
Dans la foulée, il a dénoncé avec véhémence, "le caractère ilégal" de l'emprisonnement de Karim Wade. A l'en croire, s'exprimant toujours dans les colonnes du journal "Les Nouvelles d'Abbijan", "le seul tord de Karim dans cette affaire", a-t-il dit en substance, "c'est d'être le fils de son père Abdoulaye Wade".
Al Moustapha Touré, le droit de l"hommiste" ivoirien a tout comme son collègue d'Europe, Carlos Farbon, lancé un vibrant appel à la communauté africaine et internationale, à inviter le Président sénégalais Macky Sall à savoir raison garder et à libéré Karim Wade, victime à leurs yeux, "d'une chasse aux sorcières".
L'Organisation Internationale des Droits de l'Homme (OIDH) qui a fini d'internationaliser le combat pour la libération de Karim Wade, ne compte pas s'arréter en si bon chemin. C'est du moins, ce qu'a déclaré son dirigeant le très engagé Al Moustapha Touré dans plusieurs journaux sénégalais.(Le Populaire, Siweul Qutidien et Direct Info) et sites d'information (thieydakar.com , netbi.info et setal.net ), C'était lors d'un récent séjour à Dakar, pour constater lui-même de visu l'état des droits de l'homme au Sénégal.
Siaka NDONG
Dans sa livraison du 24 avril dernier, c'est tout d'abord le quotidien ivoirien "Le Point" qui ouvre le bal en barrant à sa Une: "Libératiion de Karim/ la section de l'Organisation Internationale des Droits de l'Homme de Paris prépare une grande marche". Selon le Président de la section Europe de cette organisation internationale des droits de l'homme, Carlos Fardon, cité par ce journal, "la détention de Wade-fils est illégale".
C'est la raison pour laquelle, il a invité le pouvoir sénégalais " à tout mettre en oeuvre pour la libération "immédiate et sans condition" de Karim Wade.Très en verve, M. Farbon qui a dévoillé son plan d'action dans les colonnes du "Point", envisage d'organiser très prochainement une marche de protestation à Paris pour sensibiliser les autorités françaises sur le cas Karim qui defraie de plus en plus la chronique.
Lui embourchant la trompette, l'infatigable Al Moustapha Touré de l'OIDH de Côte-d'Ivoire, en croisade pour la libération de Karim Wade depuis plusieurs semaines, a clairement indiqué dans le journal "Les Nouvelles d'Abidjan" que l'emprisonnement de l'ancien ministre d'Etat rélève d'une "machination purement politicienne visant à éliminer un potentiel candidat à l'élection présidentielle de 2017". "Karim Wade est un otage politique", a-t-il martelé dans ce journal.
Dans la foulée, il a dénoncé avec véhémence, "le caractère ilégal" de l'emprisonnement de Karim Wade. A l'en croire, s'exprimant toujours dans les colonnes du journal "Les Nouvelles d'Abbijan", "le seul tord de Karim dans cette affaire", a-t-il dit en substance, "c'est d'être le fils de son père Abdoulaye Wade".
Al Moustapha Touré, le droit de l"hommiste" ivoirien a tout comme son collègue d'Europe, Carlos Farbon, lancé un vibrant appel à la communauté africaine et internationale, à inviter le Président sénégalais Macky Sall à savoir raison garder et à libéré Karim Wade, victime à leurs yeux, "d'une chasse aux sorcières".
L'Organisation Internationale des Droits de l'Homme (OIDH) qui a fini d'internationaliser le combat pour la libération de Karim Wade, ne compte pas s'arréter en si bon chemin. C'est du moins, ce qu'a déclaré son dirigeant le très engagé Al Moustapha Touré dans plusieurs journaux sénégalais.(Le Populaire, Siweul Qutidien et Direct Info) et sites d'information (thieydakar.com , netbi.info et setal.net ), C'était lors d'un récent séjour à Dakar, pour constater lui-même de visu l'état des droits de l'homme au Sénégal.
Siaka NDONG
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