« Pour libérer le nord du Mali, pour fédérer les forces de résistance, nous décidons la création des Forces patriotiques de résistance (FPR) », précise un document signé par les représentants des six mouvements d’auto-défense, essentiellement basés dans la région de Gao, dans le nord-est du Mali.
Les représentants des Forces de libération des régions nord du Mali (FLN), des milices Ganda-Koy et Ganda-Izo (déjà utilisées dans le passé pour combattre des rébellions touareg), l’Alliance des communautés de la région de Tombouctou (ACRT), la Force armée contre l’occupation (FACO) et le Cercle de réflexion et d’action (CRA) font partie du nouveau front.
« Nos six mouvements réunis regroupent des milliers d’hommes. Certains sont actuellement en formation dans nos bases à Sévaré », dans le centre du Mali, a déclaré à l’AFP Harouna Touré, l’un des leaders des FPR.
De sources concordantes, plusieurs centaines de jeunes volontaires maliens sont en formation pour aller combattre les islamistes dans le nord du Mali.
« Nous irons avec ou sans l’armée malienne. Nous allons défendre notre territoire, nos parents assiégés », a de son côté affirmé Amadou Abdoulaye Cissé, leader du FLN.
AFP/ 21/07/2012
Les représentants des Forces de libération des régions nord du Mali (FLN), des milices Ganda-Koy et Ganda-Izo (déjà utilisées dans le passé pour combattre des rébellions touareg), l’Alliance des communautés de la région de Tombouctou (ACRT), la Force armée contre l’occupation (FACO) et le Cercle de réflexion et d’action (CRA) font partie du nouveau front.
« Nos six mouvements réunis regroupent des milliers d’hommes. Certains sont actuellement en formation dans nos bases à Sévaré », dans le centre du Mali, a déclaré à l’AFP Harouna Touré, l’un des leaders des FPR.
De sources concordantes, plusieurs centaines de jeunes volontaires maliens sont en formation pour aller combattre les islamistes dans le nord du Mali.
« Nous irons avec ou sans l’armée malienne. Nous allons défendre notre territoire, nos parents assiégés », a de son côté affirmé Amadou Abdoulaye Cissé, leader du FLN.
AFP/ 21/07/2012