"Alors qu’ils n’ont reçu ni convocation ni notification de quelque acte les concernant, les responsables du PDS, déjà cités par le procureur spécial [de la Cour de répression de l'enrichissement illicite], lors de sa conférence de presse, ont appris qu’ordre a été donné de leur interdire de quitter le territoire national", rapporte un communiqué du comité directeur de ce parti.
Le PDS fait valoir qu'"aucune mesure de contrôle judiciaire n’a été légalement prise" à l'encontre de ses militants et soutient que "toute entrave à leur liberté d’aller et de venir [...] constitue une inadmissible forfaiture par la violation d’une liberté constitutionnelle".
"Le PDS fera face avec vigueur et détermination", déclarent les membres du comité directeur dans le communiqué signé du coordonnateur général du parti Oumar Sarr.
Des "demandes d’ouverture d’enquête" visent les anciens ministres Abdoulaye Baldé, Madické Niang, Oumar Sarr, Samuel Sarr et Karim Wade, a annoncé le 8 novembre, lors d'une conférence de presse, le procureur spécial de la CREI, Alioune Ndao.
Karim Wade, fils de l'ex-président de la République Abdoulaye Wade, a passé plusieurs heures devant la Gendarmerie, jeudi. Le 22 novembre, il doit encore faire face aux enquêteurs de la Section de recherche de la Gendarmerie. Il a occupé d'importantes fonctions ministérielles auxquelles il était nommé par son père.
Sont aussi visés les anciens directeurs du Cadastre et de l’Urbanisme, Tayibou Ndiaye et Doudou Diagne, selon M. Ndao.
Les personnes déjà citées "ont activé des leviers qui leur ont permis de s’enrichir" de manière illicite et commis "des actes de prévarication de deniers publics", a dit le magistrat lors de sa conférence de presse.
Le PDS fait valoir qu'"aucune mesure de contrôle judiciaire n’a été légalement prise" à l'encontre de ses militants et soutient que "toute entrave à leur liberté d’aller et de venir [...] constitue une inadmissible forfaiture par la violation d’une liberté constitutionnelle".
"Le PDS fera face avec vigueur et détermination", déclarent les membres du comité directeur dans le communiqué signé du coordonnateur général du parti Oumar Sarr.
Des "demandes d’ouverture d’enquête" visent les anciens ministres Abdoulaye Baldé, Madické Niang, Oumar Sarr, Samuel Sarr et Karim Wade, a annoncé le 8 novembre, lors d'une conférence de presse, le procureur spécial de la CREI, Alioune Ndao.
Karim Wade, fils de l'ex-président de la République Abdoulaye Wade, a passé plusieurs heures devant la Gendarmerie, jeudi. Le 22 novembre, il doit encore faire face aux enquêteurs de la Section de recherche de la Gendarmerie. Il a occupé d'importantes fonctions ministérielles auxquelles il était nommé par son père.
Sont aussi visés les anciens directeurs du Cadastre et de l’Urbanisme, Tayibou Ndiaye et Doudou Diagne, selon M. Ndao.
Les personnes déjà citées "ont activé des leviers qui leur ont permis de s’enrichir" de manière illicite et commis "des actes de prévarication de deniers publics", a dit le magistrat lors de sa conférence de presse.