L’ex-directeur de l’Ocrtis et l’ancien Dgpn ont été, une première fois, entendus séparément par le juge d’instruction du deuxième cabinet comme «des personnes susceptibles de fournir des renseignements sur un présumé trafic de drogue», qui éclabousse l’ex-patron de la police. Cheikhna Cheikh Saadebou Keïta avait «réaffirmé son intention d’aller le plus loin possible dans ses affirmations». Très en verve, il avait maintenu le contenu de son rapport qui accuse l’ex-Dgpn. Désormais, d'autres flics sont mouillés dans cette enquête.
source Le quotodien.sn
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