Didier Awadi s’est prononcé sur l’affaire Simon et Kilifeu, inculpés par le juge du deuxième cabinet d’instruction pour, entre autres, « trafic de migrants, faux et usage de faux ». Selon le rappeur ses « petits frères ont fait une erreur ».
« Je ne vais pas être dans la langue de bois. J’ai vu ces vidéos. Est-ce qu’elles font plaisir? Non ! Nos petits frères ont fait une erreur mais sur l’activisme pure, je pense qu’ils ont écrit de grandes lignes dans l’histoire de ce pays. Je pense qu’ils ont fait une erreur. Est-ce que j’applaudis ? Non. Est-ce que le mouvement hip hop en est fier? Non. Je pense qu’ils ont fait une erreur mais mon devoir est d’être dans les moments agréables comme dans les moments durs aux côtés de mes petits frères. Donc, je leur témoigne mon affection », a témoigné l’invité du Jury du dimanche (Jdd), de ce 10 octobre sur Iradio.
Par contre, l’affaire des députés cités dans un trafic présumé de passeports diplomatiques est « plus grave », si l’on en croit au panafricaniste. « C’est encore plus grave, parce que c’est la légèreté de notre système administratif qui est mise en cause. Et ce n’est pas nouveau. Il y a une catégorie de citoyens qui bénéficient de certaines largesses. Aujourd’hui, on a une occasion d’essayer de corriger ça », a-t-il avancé.
« Je ne vais pas être dans la langue de bois. J’ai vu ces vidéos. Est-ce qu’elles font plaisir? Non ! Nos petits frères ont fait une erreur mais sur l’activisme pure, je pense qu’ils ont écrit de grandes lignes dans l’histoire de ce pays. Je pense qu’ils ont fait une erreur. Est-ce que j’applaudis ? Non. Est-ce que le mouvement hip hop en est fier? Non. Je pense qu’ils ont fait une erreur mais mon devoir est d’être dans les moments agréables comme dans les moments durs aux côtés de mes petits frères. Donc, je leur témoigne mon affection », a témoigné l’invité du Jury du dimanche (Jdd), de ce 10 octobre sur Iradio.
Par contre, l’affaire des députés cités dans un trafic présumé de passeports diplomatiques est « plus grave », si l’on en croit au panafricaniste. « C’est encore plus grave, parce que c’est la légèreté de notre système administratif qui est mise en cause. Et ce n’est pas nouveau. Il y a une catégorie de citoyens qui bénéficient de certaines largesses. Aujourd’hui, on a une occasion d’essayer de corriger ça », a-t-il avancé.