Suite aux violences électorales survenues à Diourbel lors du passage de la Caravane de la coalition Sàmm Sa Kàddu, le Pastef/ les patriotes par le biais de son responsable du pool juridique du directoire de campagne, a déposé hier jeudi une plainte contre Anta Babacar Ngom et x , sur la table du procureur de la République près le Tribunal local de Grande Instance, a appris Seneweb. MeAbdy Nar Ndiaye a visé les faits de destruction de biens appartenant à autrui, coups et blessures volontaires, violences et voies de fait et complicité de ces chefs pour le compte d'une dizaine de membres de Pastef. Me Ndiaye va déposer, dit-il, une autre plainte au parquet de Mbacké pour les faits similaires. Détails ! "(...) Je viens par la présent porter à votre connaissance les faits de destruction de biens appartenant à autrui, coups et blessures volontaires, violences et voies de fait et complicité de ces chefs, dont ils sont victimes de la part de Madame Anta Babacar NGOM et des personnes pour qui les identités ne sont pas encore identifiées. Qu'en effet, alors que le Parti Politique PASTEF-LES PATRIOTES, déroulait normalement ses activités de campagne pour les élections législatives du 17 Novembre 2024 dans la région de Diourbel, les agents de sécurité de la candidate Madame Anta Babacar NGOM ont attaqué honteusement, le cortège du parti plaignant pour les intimider; Qu'ainsi, les mis en cause ont, sans raison aucune, lapidé les voitures qui transportaient les militants du parti plaignant; Que le seul crime qu'ont commis ces derniers est de prendre leur itinéraire, mener à bien leur campagne mais aussi et surtout de gagner la sympathie de la jeunesse Sénégalaise: Attendu que n'ayant pas réussi leurs tentatives d'intimidation sur ces derniers, les mis en cause, ont poursuivi de plus bel leurs attaques en conférant aux militants multiples insultes, violences avant de les agresser, occasionnant chez eux de nombreuses blessures; Qu'à ce jour, les militants du parti politique plaignant sont dans des situations instables résultant de leurs agressions par des agents de sécurité de la candidate Anta Babacar NGOM; Qu'en se comportant de la sorte, il ne fait l'ombre d'aucun doute que ces malfaiteurs inconnus se sont rendus coupables des infractions de destruction de bien appartenant à autrui, coups et blessures volontaires et de violences et voies de fait, infractions prévues et punies respectivement par les dispositions pertinentes des articles 409, 294 et 293 du Code Pénal (...). Attendu que dans un autre registre, Madame Anta Babacar NGOM, Candidate aux élections législatives, était en toute complicité avec ces malfaiteurs; Qu'en effet, lorsque ses agents de sécurités attaquaient, sans raison aucune, les militants du parti politique plaignant lors de leur meeting, Madame Anta Babacar NGOM était présente et n'avait aucunement daigné raisonner ses employés; Qu'or, comme le dit l'adage « qui peut et n'empêche, pêche »; qu'en d'autres termes, Celui qui ignore une catastrophe alors qu'il peut l'éviter en intervenant, est aussi coupable que les protagonistes de l'acte : Que l'attitude de la dame Anta Babacar NGOM n'est pas en reste et ne peut être considérée que comme de la complicité aux actes de ses hommes de sécurité; Qu'ainsi, en se comportant de la sorte, la dame Anta Babacar NGOM s'est rendue coupable de complicité des chefs d'inculpation, infraction prévue par les dispositions de l'article 45 du Code Pénal (...). Attendu que dans un autre registre, Madame Anta Babacar NGOM, Candidate aux élections législatives, était en toute complicité avec ces malfaiteurs; Qu'en effet, lorsque ses agents de sécurités attaquaient, sans raison aucune, les militants du parti politique plaignant lors de leur meeting, Madame Anta Babacar NGOM était présente et n'avait aucunement daigné raisonner ses employés; Qu'or, comme le dit l'adage. qui peut et n'empêche, pêche qu'en d'autres termes, Celui qui ignore une catastrophe alors qu'il peut l'éviter en intervenant, est aussi coupable que les protagonistes de l'acte ; Que l'attitude de la dame Anta Babacar NGOM n'est pas en reste et ne peut être considérée que comme de la complicité aux actes de ses hommes de sécurité; Qu'ainsi, en se comportant de la sorte, la dame Anta Babacar NGOM s'est rendue coupable de complicité des chefs d'inculpation, infraction prévue par les dispositions de l'article 45 du Code Pénal aux termes duquel: