Diourbel manque de tout. Ne disposant d’aucun réceptif digne d’accueillir le moindre des plus sobres touristes que pourrait espérer cette joyeuse cité naguère courue par d’innombrables personnages venant tous azimuts. Quand bien même, c’est une lapalissade de le dire, ses différents fils portés, tour à tour, à des mandatures républicaines se sont succédés sans rien réaliser dans ce segment ni même dans d'autres segments tel l'éducation ou encore la santé.
Nous avons inlassablement dénoncé cet état de fait, en vain. Ironie de l’histoire, aux détours d’une alternance politique et d’une lumineuse vision de décentraliser les traditionnels conseils ministériels post indépendances, nos gouvernants et à leur tête, le Chef de l’Etat, n'ont pas eu un quelconque logis dans cette collectivité locale.
A présent, des projets réalisables sont comprimés dans des portefeuilles (depuis plusieurs années) mais faute de volonté politique et surtout de mauvais choix des dirigeants, le constat amer est là. Nous tairons ici, les graves insuffisances et dysfonctionnements des différents leaders ayant présidé à la tête de cette historique municipalité, terreau de l’islam.
Certes les fautes sont partagées dans la chaîne de responsabilité mais l'absence de vision stratégique des anciens élus reste dénoncer . Difficile de récuser ces accusations. Le déficit organisationnel, l’absence d’infrastructures dont souffrent les zones urbaines et rurales, sont à l’origine de ces graves accusations qui peuvent, hélas, être exploitées par des adversaires embusqués.
La mission première des politiques de ce pays, est de renouer les liens distendus entre les Sénégalais et la politique. La machine de propagande, sans la bonne gouvernance et une réelle prise en charge de la demande sociale, ne peut plus emballer le Nouveau type sénégalais.
Mais pouvons nous faire la politique sans politicien ?
Modou FALL
Coordonnateur du Mouvement DEGG MOO WOOR
Candidat aux elections locales / Mairie de Diourbel
Nous avons inlassablement dénoncé cet état de fait, en vain. Ironie de l’histoire, aux détours d’une alternance politique et d’une lumineuse vision de décentraliser les traditionnels conseils ministériels post indépendances, nos gouvernants et à leur tête, le Chef de l’Etat, n'ont pas eu un quelconque logis dans cette collectivité locale.
A présent, des projets réalisables sont comprimés dans des portefeuilles (depuis plusieurs années) mais faute de volonté politique et surtout de mauvais choix des dirigeants, le constat amer est là. Nous tairons ici, les graves insuffisances et dysfonctionnements des différents leaders ayant présidé à la tête de cette historique municipalité, terreau de l’islam.
Certes les fautes sont partagées dans la chaîne de responsabilité mais l'absence de vision stratégique des anciens élus reste dénoncer . Difficile de récuser ces accusations. Le déficit organisationnel, l’absence d’infrastructures dont souffrent les zones urbaines et rurales, sont à l’origine de ces graves accusations qui peuvent, hélas, être exploitées par des adversaires embusqués.
La mission première des politiques de ce pays, est de renouer les liens distendus entre les Sénégalais et la politique. La machine de propagande, sans la bonne gouvernance et une réelle prise en charge de la demande sociale, ne peut plus emballer le Nouveau type sénégalais.
Mais pouvons nous faire la politique sans politicien ?
Modou FALL
Coordonnateur du Mouvement DEGG MOO WOOR
Candidat aux elections locales / Mairie de Diourbel
Maguette Sène : «Je n’ai pas démissionné de l’Apr»
