''Des dispositions sont prises dans le cadre du plan national d’organisation de secours (ORSEC), à la suite du sinistre dû aux inondations, mais aussi dans le cadre du Fonds de calamités logé au ministère de l’Agriculture et de l'Equipement rural qui permet, après une évaluation réelle des sinistres, de voir comment accompagner les populations ayant perdu leurs cultures'', a assuré M. Sambou.
Il était venu s’enquérir des dégâts causés par la pluie sur les champs des producteurs du village de Djilor Djognick et ses environs.
Mais, l’intervention de l’Etat ''exige au préalable une évaluation réelle'' des sinistres, selon M. Sambou. Cette évaluation ''permet de faire en sorte que les agriculteurs n’aient pas à subir un grand préjudice dans les compensations'', a-t-il expliqué.
''Le gouvernement est en train de prendre les mesures diligentes pour pouvoir les (cultivateurs sinistrés) secourir, tout en continuant d’évaluer les dégâts dans les champs de mil, de sésame, etc.'', a-t-il annoncé, invitant les cultivateurs à ''éviter de cultiver dans les bas-fonds dans les années à venir''. ''Tous les champs inondés'' qu'il a visités ''se trouvent dans les bas-fonds'', a-t-il signalé.
Accompagné des autorités administratives locales, d’élus locaux et de chefs des services de l’Etat, Benoît Sambou s'est enquis des dégâts causés, en se rendant à Djilor Djognick, le chef-lieu de la communauté rurale, appelée aussi ''Djilor Saloum'', dont certains habitants sont relogés dans une école élémentaire.
Sur place, M. Sambou a annoncé que des vivres, des moustiquaires et des médicaments seront remis aux sinistrés de cette localité où, selon lui, le dispositif de pompage des eaux de pluie sera renforcé.
Le sous-préfet de l’arrondissement de Djilor Djognick, Léopold Diouf, a dit que les inondations ont touché une cinquantaine de familles, dont 16 familles comprenant 168 personnes sont relogées ailleurs.
''Djilor Djognick a reçu en quarante jours 770,5 millimètres de pluie, dont 265 dans une période de 10 jours à compter du 24 août dernier'', a expliqué M. Diouf, qui donnait un bilan provisoire du sinistre.
La communauté rurale de Djilor Djognick compte environ 16 mille habitants répartis dans 44 villages.
Il était venu s’enquérir des dégâts causés par la pluie sur les champs des producteurs du village de Djilor Djognick et ses environs.
Mais, l’intervention de l’Etat ''exige au préalable une évaluation réelle'' des sinistres, selon M. Sambou. Cette évaluation ''permet de faire en sorte que les agriculteurs n’aient pas à subir un grand préjudice dans les compensations'', a-t-il expliqué.
''Le gouvernement est en train de prendre les mesures diligentes pour pouvoir les (cultivateurs sinistrés) secourir, tout en continuant d’évaluer les dégâts dans les champs de mil, de sésame, etc.'', a-t-il annoncé, invitant les cultivateurs à ''éviter de cultiver dans les bas-fonds dans les années à venir''. ''Tous les champs inondés'' qu'il a visités ''se trouvent dans les bas-fonds'', a-t-il signalé.
Accompagné des autorités administratives locales, d’élus locaux et de chefs des services de l’Etat, Benoît Sambou s'est enquis des dégâts causés, en se rendant à Djilor Djognick, le chef-lieu de la communauté rurale, appelée aussi ''Djilor Saloum'', dont certains habitants sont relogés dans une école élémentaire.
Sur place, M. Sambou a annoncé que des vivres, des moustiquaires et des médicaments seront remis aux sinistrés de cette localité où, selon lui, le dispositif de pompage des eaux de pluie sera renforcé.
Le sous-préfet de l’arrondissement de Djilor Djognick, Léopold Diouf, a dit que les inondations ont touché une cinquantaine de familles, dont 16 familles comprenant 168 personnes sont relogées ailleurs.
''Djilor Djognick a reçu en quarante jours 770,5 millimètres de pluie, dont 265 dans une période de 10 jours à compter du 24 août dernier'', a expliqué M. Diouf, qui donnait un bilan provisoire du sinistre.
La communauté rurale de Djilor Djognick compte environ 16 mille habitants répartis dans 44 villages.