Le Doyen des juges est en train de mettre les bouchées doubles pour situer les responsabilités suite au drame survenu au stade Demba Diop, lors de la dernière finale de la Coupe de la Ligue.
C’est d’ailleurs ce qui explique l’audition, ce lundi 11 décembre 2017, du directeur du stade et des présidents du Stade de Mbour et de l'Us Ouakam. Les personnes morales, Serigne Saliou Samb et Abdoul Aziz Guèye repassent dans le bureau du juge Samba Sall en qualité de témoins. Il est question dans le bureau du magistrat instructeur d'une audition au fond afin de situer la responsabilité des uns et des autres. Au moment où nous écrivons ces lignes, le Directeur du stade est en train de répondre aux questions du Doyen des juges, même s'il est encore difficile de briser le halo de mystère qui entoure son face à face avec le magistrat.
Pour rappel, dix membres de l'Uso dont un joueur ont été arrêtés le 12 août dernier, après les incidents de Demba Diop, qui ont fait huit morts, tous des supporters du Stade de Mbour. Ces Ouakamois mis en cause dans des échauffourées suivies de mouvement de panique sont poursuivis pour meurtre, coups et blessures volontaires.
C’est d’ailleurs ce qui explique l’audition, ce lundi 11 décembre 2017, du directeur du stade et des présidents du Stade de Mbour et de l'Us Ouakam. Les personnes morales, Serigne Saliou Samb et Abdoul Aziz Guèye repassent dans le bureau du juge Samba Sall en qualité de témoins. Il est question dans le bureau du magistrat instructeur d'une audition au fond afin de situer la responsabilité des uns et des autres. Au moment où nous écrivons ces lignes, le Directeur du stade est en train de répondre aux questions du Doyen des juges, même s'il est encore difficile de briser le halo de mystère qui entoure son face à face avec le magistrat.
Pour rappel, dix membres de l'Uso dont un joueur ont été arrêtés le 12 août dernier, après les incidents de Demba Diop, qui ont fait huit morts, tous des supporters du Stade de Mbour. Ces Ouakamois mis en cause dans des échauffourées suivies de mouvement de panique sont poursuivis pour meurtre, coups et blessures volontaires.