Célébrant avec faste l’anniversaire de l’une d’elles qui est juste âgée de 16 ans, des lesbiennes se sont permis des actes contre-nature dans un bar malfamé de la capitale. Il s’agit du « Piano-Piano » qui se trouve non à Grand-Yoff comme dit dans la presse mais à Yoff, précisément sur la route de l’aéroport Léopold Sédar Senghor. La police qui a été alertée est descendue sur les lieux pour mettre un terme au dévergondage qui régnait en maitre et depuis lors, les cinq lesbiennes sont gardées à vue au commissariat central. Leur face-à-face avec le procureur reporté à aujourd’hui, elles ont passé une nuit de plus, le temps que les enquêteurs bouclent le dossier à transmettre au Procureur.
Mais pour le gérant du bar Mbaye Piano, les cinq filles n’ont pas été arrêtées pour s’être embrassées. Pour lui, c’est l’une d’elle qui, ivre morte a insulté un agent de police. Les autres venues aux nouvelles ont été embarquées à leur tour. Poursuivant dans les colonnes du quotidien La Tribune, il dit être victime d’une cabale orchestrée par des concurrents qui se sentent menacés par son bar. Quoiqu’il en soit, cette affaire n’a pas encore livré toute sa vérité.
Mais pour le gérant du bar Mbaye Piano, les cinq filles n’ont pas été arrêtées pour s’être embrassées. Pour lui, c’est l’une d’elle qui, ivre morte a insulté un agent de police. Les autres venues aux nouvelles ont été embarquées à leur tour. Poursuivant dans les colonnes du quotidien La Tribune, il dit être victime d’une cabale orchestrée par des concurrents qui se sentent menacés par son bar. Quoiqu’il en soit, cette affaire n’a pas encore livré toute sa vérité.