"Il faut replacer les choses dans son contexte. Barthélemy Dias est maire et un beau jour des hommes armés et motorisés viennent pour massacrer sa mairie alors il s'est défendu comme un homme en protégeant ses employés. Lorsqu'il fut arrêté, le soir du 24 décembre le commissaire a failli nous faire avaler un deuxième mort en disant des conneries sans fondement. Cette affaire est un sacrifice humain de l'ancien régime.
Et selon toujours le père de Barthélemy Dias, un jour Ahmed Khalifa Niass l'a dit qu'il détient une lettre du premier juge de la cour suprême à l'époque qui l'avait autorisé à s'inscrire sur les listes électorales alors qu'il séjournait en prison.
Le leader du BCG dit que la liberté provisoire de son fils ne lui plait pas parce que ce dernier est innocent. Quant à l'oncle de Ndiaga Diouf, ce calot bleu qui s'active pour crier au scandale doit d'abord commencer par nous dire comment son neveu n'a pas pu recevoir une bonne.
Rewmi
Et selon toujours le père de Barthélemy Dias, un jour Ahmed Khalifa Niass l'a dit qu'il détient une lettre du premier juge de la cour suprême à l'époque qui l'avait autorisé à s'inscrire sur les listes électorales alors qu'il séjournait en prison.
Le leader du BCG dit que la liberté provisoire de son fils ne lui plait pas parce que ce dernier est innocent. Quant à l'oncle de Ndiaga Diouf, ce calot bleu qui s'active pour crier au scandale doit d'abord commencer par nous dire comment son neveu n'a pas pu recevoir une bonne.
Rewmi
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