265 millions de nos francs en équipement, c’est le coût du don de l’Union économique et monétaire Ouest africaine (Uemoa) au laboratoire national de biologie végétale de la Faculté des sciences et technique de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad). La cérémonie de réception de cet important lot d’équipements a eu lieu hier, mardi 10 avril, en présence des autorités de ladite faculté. Il entre dans le cadre de la mise en œuvre du Programme régional de biosécurité de l’organisation sous régionale.
Ce matériel qui donnera du sang neuf à la structure de recherche «est composé de différents équipements de laboratoire d’un coût de 265 millions de Francs Cfa dont les 100 millions sont destinés à la formation et les 165 millions aux équipements et divers», précise le Commissaire chargé du développement rural, des ressources naturelles et de l’environnement de l’Uemoa, Ibrahima Diémé.
Le bon usage du matériel n’inquiète pas le commissaire pour une gestion de la biosécurité. «Aujourd’hui nous ne savons pas ce que nous mangeons, avec ce laboratoire, le gouvernement du Sénégal sera en mesure de s’assurer que les aliments que nous mangeons seront sains. Je suis rassuré que les équipements seront utilisés à bon échéant », indique-t-il.
Le doyen de la Faculté des sciences et techniques de l’Ucad, Serigne Amadou Ndiaye renchérit que « les nouveaux équipements permettront au département de la biologie végétale d’élever de façon très appréciable le niveau du laboratoire en capacité de détection et de traçabilité des organismes génétiquement modifiés».
Pour Saliou Rama Ka, secrétaire général du ministère de l’Ecologie et de la Protection de la nature, représentant du gouvernement, « le Sénégal a choisi ce laboratoire de la Faculté des sciences et techniques (Fst) pour accueillir ce matériel qui va l’aider à mieux faire son travail de protection de la biosécurité. C'est-à-dire que nous allons veiller à tout ce qui est consommé par la population surtout avec les organismes génétiquement modifiés (Ogm)». Il s’agit de «nous assurer que les produits qui sont destinés aux populations ne subissent pas cette modification là » souligne-t-il.
En outre, Saliou Rama Ka, a saisi cette occasion pour remercier le président de la Commission de l’Uemoa Cheikh Adjibou Soumaré, un des anciens premiers sous l’ère libérale. «Je saisi cette occasion, au nom du gouvernement, pour remercier les autorités de l’Uemoa, en particulier le Président, notre compatriote, Cheikh Adjibou Soumaré et tous ses collaborateurs pour que ce projet puisse aboutir».
Le Programme régional de biosécurité compte surtout protéger la biodiversité régionale en équipant tous les laboratoires nationaux des pays membres de l’Uemoa afin d’harmoniser un cadre juridique communautaire.
Ce matériel qui donnera du sang neuf à la structure de recherche «est composé de différents équipements de laboratoire d’un coût de 265 millions de Francs Cfa dont les 100 millions sont destinés à la formation et les 165 millions aux équipements et divers», précise le Commissaire chargé du développement rural, des ressources naturelles et de l’environnement de l’Uemoa, Ibrahima Diémé.
Le bon usage du matériel n’inquiète pas le commissaire pour une gestion de la biosécurité. «Aujourd’hui nous ne savons pas ce que nous mangeons, avec ce laboratoire, le gouvernement du Sénégal sera en mesure de s’assurer que les aliments que nous mangeons seront sains. Je suis rassuré que les équipements seront utilisés à bon échéant », indique-t-il.
Le doyen de la Faculté des sciences et techniques de l’Ucad, Serigne Amadou Ndiaye renchérit que « les nouveaux équipements permettront au département de la biologie végétale d’élever de façon très appréciable le niveau du laboratoire en capacité de détection et de traçabilité des organismes génétiquement modifiés».
Pour Saliou Rama Ka, secrétaire général du ministère de l’Ecologie et de la Protection de la nature, représentant du gouvernement, « le Sénégal a choisi ce laboratoire de la Faculté des sciences et techniques (Fst) pour accueillir ce matériel qui va l’aider à mieux faire son travail de protection de la biosécurité. C'est-à-dire que nous allons veiller à tout ce qui est consommé par la population surtout avec les organismes génétiquement modifiés (Ogm)». Il s’agit de «nous assurer que les produits qui sont destinés aux populations ne subissent pas cette modification là » souligne-t-il.
En outre, Saliou Rama Ka, a saisi cette occasion pour remercier le président de la Commission de l’Uemoa Cheikh Adjibou Soumaré, un des anciens premiers sous l’ère libérale. «Je saisi cette occasion, au nom du gouvernement, pour remercier les autorités de l’Uemoa, en particulier le Président, notre compatriote, Cheikh Adjibou Soumaré et tous ses collaborateurs pour que ce projet puisse aboutir».
Le Programme régional de biosécurité compte surtout protéger la biodiversité régionale en équipant tous les laboratoires nationaux des pays membres de l’Uemoa afin d’harmoniser un cadre juridique communautaire.