Si ce n’est pas un lynchage médiatique, ça y ressemble fort. El Hadji Diouf continue toujours son opération de dénigrement des dirigeants, qu’il a entamée depuis l’élimination du Sénégal à la Can 2013 par la Côte d’Ivoire. Après avoir fait le tour de la presse sénégalaise, pour trainer dans la boue la bande à Me Augustin Senghor, le bad boy continue sa besogne dans la presse étrangère. En effet, l’ancien joueur de Liverpool s’est fait ouvrir les colonnes du journal l’Equipe, pour, copieusement, insulter les autorités du football sénégalais, avec la même verve et la même insolence. « Nos dirigeants sont des tocards, je ne veux pas travailler avec eux. Mais, je ferai tout pour mon pays. Autour du président de la Fédé, ce sont des moutons. On a des bouteilles d’eau, pas des entraîneurs », dira&-t-il.
Des propos qui en disent long sur la haine viscérale de l’ancien joueur de Bolton à l’endroit des fédéraux, à qui il ne pardonne pas de l’avoir écarté, pendant trois ans, de la sélection nationale. Pour autant, le joueur à l’égo surdimensionné, pense qu’il reste encore présent dans le cœur des Sénégalais. « Chez moi, je suis comme un demi-dieu. Rien que pour ma non-sélection, pour le barrage retour contre la Côte d’Ivoire, des gens ont brûlé des pneus, sont allés gueuler devant la fédération ». Il ne manquait plus que ça.
Des propos qui en disent long sur la haine viscérale de l’ancien joueur de Bolton à l’endroit des fédéraux, à qui il ne pardonne pas de l’avoir écarté, pendant trois ans, de la sélection nationale. Pour autant, le joueur à l’égo surdimensionné, pense qu’il reste encore présent dans le cœur des Sénégalais. « Chez moi, je suis comme un demi-dieu. Rien que pour ma non-sélection, pour le barrage retour contre la Côte d’Ivoire, des gens ont brûlé des pneus, sont allés gueuler devant la fédération ». Il ne manquait plus que ça.